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Renseignements d’ordre général sur les vaccins contre la COVID-19Renseignements d’ordre général sur les vaccins contre la COVID-19COVID-19 vaccines general informationRFrenchInfectious DiseasesChild (0-12 years);Teen (13-18 years)NANADrug treatmentCaregivers Adult (19+)NA2022-01-27T05:00:00Z10.900000000000049.10000000000001996.00000000000Flat ContentHealth A-Z<p>Découvrez quels vaccins contre la COVID-19 sont disponibles au Canada, et trouvez des renseignements sur la mise au point des vaccins, ainsi que sur leur innocuité et leur efficacité.</p><h2>Vaccins contre la COVID-19 dont l’utilisation est approuvée au Canada</h2><p>En novembre 2021, Santé Canada a approuvé l’utilisation clinique de quatre vaccins contre la COVID-19.</p><p>Deux vaccins à ARNm :</p><ul><li>Comirnaty de <strong>Pfizer-BioNTech</strong></li><li>Spikevax de <strong>Moderna</strong></li></ul><p>Deux vaccins à vecteur adénoviral :</p><ul><li>Vaxzevria d’<strong>AstraZeneca</strong></li><li> <strong>Janssen</strong> (Johnson and Johnson)</li></ul><p>Recherchez-vous des renseignements qui se rapportent particulièrement aux enfants âgés de 5 à 11 ans? Rendez-vous sur la page des <a href="https://www.aboutkidshealth.ca/Article?contentid=4001&language=French&hub=COVID-19">renseignements sur les vaccins contre la COVID-19 pour les enfants (âgés de 5 à 11 ans)</a>.</p><p>Recherchez-vous des renseignements qui se rapportent particulièrement aux jeunes de 12 ans et plus? Rendez-vous sur la page des <a href="https://www.aboutkidshealth.ca/Article?contentid=4000&language=French&hub=COVID-19">renseignements sur les vaccins contre la COVID-19 pour les jeunes (âgés de 12 ans et plus)</a>.</p> <br> <h2>À retenir</h2><ul><li>Les vaccins contre la COVID-19 se sont révélés sûrs et efficaces contre cette maladie.</li><li>En novembre 2021, Santé Canada a approuvé quatre vaccins contre la COVID-19.</li><li>Deux des vaccins, Pfizer et Moderna, sont approuvés pour les personnes âgées de 12 ans et plus.</li><li>En date du 19 novembre 2021, l’utilisation du vaccin Pfizer a été approuvée chez les enfants âgés de 5 à 11 ans.</li><li>Des études sont en cours pour évaluer l’innocuité des vaccins et leur efficacité chez les enfants de moins de 5 ans.</li><li>Les parents qui sont vaccinés contre la COVID-19 peuvent contribuer à protéger leurs enfants et d’autres personnes contre cette maladie.</li></ul> <h2>Comment fonctionnent les vaccins à ARNm?</h2><p>Les vaccins fonctionnent en apprenant à vos cellules immunitaires à reconnaître une petite partie du virus SRAS-CoV-2 appelée protéine Spike. Le virus SRAS-CoV-2 est le virus qui cause la COVID-19.</p><p>Pfizer utilise l’ARN messager (ARNm) dans ses vaccins. L’ARNm est un petit morceau de code génétique du virus SRAS-CoV-2 qui indique à l’organisme de fabriquer la protéine Spike du coronavirus. La production de la protéine Spike est reconnue par les cellules assistantes de l’immunité, qui vont assembler une armée de lymphocytes B. Les lymphocytes B produisent les anticorps qui créent une immunité contre le virus. Une fois que le vaccin a provoqué cette réponse immunitaire, le corps se débarrasse rapidement de la protéine Spike et de l’ARNm, et seuls les anticorps et la mémoire immunitaire restent.</p><h2>Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 sont-ils sûrs, et y a-t-il des effets secondaires?</h2><p>Santé Canada a approuvé deux vaccins à ARNm : le vaccin Pfizer et le vaccin Moderna. Ces vaccins ont satisfait aux exigences d’approbation de Santé Canada, car ils ont fait l’objet d’essais cliniques portant sur un grand nombre de personnes et se sont révélés sûrs. Dans les études, le nombre de personnes ayant reçu le vaccin et présentant des effets secondaires graves inattendus était semblable au nombre de personnes ayant reçu un placebo (substance ou traitement ne contenant aucun principe actif).</p><p>Les personnes qui reçoivent un vaccin contre la COVID-19 peuvent présenter des effets secondaires, comme la fatigue, les maux de tête, les douleurs musculaires, les douleurs articulaires, les frissons et la fièvre. Ce sont des effets secondaires que l’on rencontre fréquemment après n’importe quelle vaccination. Des réactions allergiques ne sont survenues que rarement après la vaccination contre la COVID-19.</p><h2>Qu’en est-il du risque de myocardite et de péricardite?</h2><p>Un petit nombre de cas de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) ou de péricardite (inflammation du sac qui enveloppe le cœur) après l’immunisation par les vaccins contre la COVID-19 ont été signalés au Canada et à l’étranger. Ces cas sont très rares et sont le plus souvent signalés après la deuxième dose d’un vaccin à ARNm. La plupart des cas étaient légers et se sont résolus en quelques jours à la suite d’un traitement des symptômes. Dans le cadre des systèmes de surveillance de la sécurité, Santé publique Ontario suit de près les cas de myocardite et de péricardite après la vaccination contre la COVID-19.</p><h2>Est-ce que le vaccin contre la COVID-19 risque de donner le virus?</h2><p>Non. Il n’y a aucun moyen de contracter la COVID-19 à partir de l’un des vaccins. Aucun des vaccins ne contient le virus SRAS-CoV-2, qui est à l’origine de la COVID-19.</p><h2>Après la vaccination, combien de temps faut-il pour être protégé contre la COVID-19?</h2><p>Après avoir reçu le vaccin, l’immunité commence généralement à se développer après 14 jours. Dans le cas des vaccins qui nécessitent deux doses, une réponse immunitaire maximale se produit 7 à 14 jours après la deuxième dose du vaccin. Les études sont toujours en cours et des données sont recueillies pour déterminer la durée de la protection.</p><h2>Comment peut-on être certain qu’un vaccin mis au point aussi rapidement est également sûr?</h2><p>Les travaux sur les vaccins contre les coronavirus sont en cours depuis plus de 10 ans, en partie à cause de l’éclosion du SRAS-CoV-1 en 2003. Il était important de mettre rapidement au point le vaccin contre la COVID-19 en raison du nombre de personnes qui décédaient et tombaient malades, ainsi que des perturbations de la vie quotidienne dues à la pandémie. Même si les vaccins ont été mis au point rapidement, toutes les étapes habituelles du processus d’approbation des vaccins ont été suivies, y compris les essais cliniques portant sur le nombre approprié de participants. En raison de la grande quantité de ressources mises à disposition pour mettre au point un vaccin contre la COVID-19 et du grand nombre de cas de COVID-19, les essais cliniques ont pu se dérouler rapidement. Cela a permis de savoir en peu de temps si les vaccins permettaient ou non de prévenir les cas de COVID-19. Le vaccin s’est rapidement révélé efficace pour protéger contre la COVID-19.</p><h2>Quelle est la différence entre l’immunité naturelle et l’immunité conférée par le vaccin contre la COVID-19?</h2><p>L’immunité naturelle désigne les réponses immunitaires qui se développent après l’exposition à une infection. Lorsque les gens contractent une infection, ils développent pour la plupart des anticorps qui sont essentiels pour reconnaître et combattre la même infection, si elle se reproduit. L’immunité naturelle peut diminuer avec le temps, et les anticorps peuvent ne pas durer très longtemps dans votre système immunitaire. Pour développer une immunité naturelle, il faut également contracter l’infection, ce qui signifie que vous pourriez connaître de très graves complications de santé en conséquence.</p><p>Il est également possible d’obtenir une immunité contre la COVID-19 en se faisant vacciner. La différence, dans ce cas, tient au fait que le vaccin apprend à votre système immunitaire à développer les anticorps qui vous protègent contre la COVID-19 sans que vous ayez à contracter l’infection et à tomber malade. Étant donné que des doses supplémentaires de vaccin sont administrées pour aider à créer les réponses immunitaires, les anticorps continuent à circuler dans le corps pendant une période plus longue qu’en cas d’infection simple.</p><h2>Puis-je recevoir d’autres vaccins, comme le vaccin contre l’influenza (la grippe), en même temps que le vaccin contre la COVID-19?</h2><p>Selon le Comité consultatif national de l’immunisation, chez les personnes âgées de 12 ans et plus, les vaccins contre la COVID-19 peuvent être administrés en même temps que d’autres vaccins, y compris le vaccin contre l’influenza (la grippe), ou à tout moment avant ou après. Chez les enfants de 5 à 11 ans, il est recommandé d’attendre 14 jours avant d’administrer d’autres vaccins, comme le vaccin contre la grippe. Il s’agit d’une précaution pour surveiller les éventuels effets secondaires du vaccin contre la COVID-19 ou d’un autre vaccin. Si un vaccin est nécessaire de toute urgence, veuillez suivre les conseils du fournisseur de soins de santé de votre enfant.</p><h2>Si je suis entièrement vacciné contre la COVID-19, cela protégera-t-il mon enfant?</h2><p>De plus en plus de preuves laissent entendre que les personnes entièrement vaccinées sont moins susceptibles de contracter la COVID-19 asymptomatique et potentiellement moins susceptibles de transmettre l’infection à d’autres personnes. Cela peut être vrai pour les parents vaccinés et le risque de transmission à leur enfant. Cependant, d’autres études sont nécessaires pour le confirmer. La vaccination individuelle de toutes les personnes admissibles offre la meilleure protection possible contre l’infection par la COVID-19.</p><h2>Si mon enfant contracte la COVID-19 et que je suis entièrement vacciné, serai-je protégé contre la maladie?</h2><p>Il a été démontré que les personnes entièrement vaccinées ont moins de risque de contracter la COVID-19 et moins de risque de contracter une maladie grave, y compris l’admission à l’hôpital et dans une unité de soins intensifs. Si vous êtes entièrement vacciné et que votre enfant reçoit ultérieurement un diagnostic de COVID-19, vous courez un risque plus faible de contracter la maladie.</p><h2>En quoi le variant Omicron est-il différent des autres souches que nous avons observées auparavant, et dans quelle mesure est-il répandu?</h2><p>Omicron est un variant de la COVID-19 qui est beaucoup plus transmissible que les souches précédentes, ce qui est à l’origine de l’augmentation rapide du nombre de cas et du nombre correspondant d’hospitalisations. Chez les adultes, il est prouvé que les vaccins restent efficaces pour prévenir les hospitalisations et les maladies graves dues à Omicron, en particulier chez les personnes entièrement vaccinées et ayant reçu une troisième dose. La souche Omicron, en raison de sa forte transmissibilité, est devenue la forme dominante de la COVID-19 en Ontario et dans une grande partie du monde.</p><h2>Si mon enfant ou moi-même avons déjà eu la COVID-19, devons-nous quand même recevoir le vaccin?</h2><p>Oui. Il est recommandé aux personnes qui ont eu la COVID-19 de continuer à se faire vacciner, mais seulement après s’être remises de leur maladie et après avoir été autorisées par leur unité de santé publique locale. Les essais cliniques ont inclus des personnes ayant déjà eu la COVID-19, et le vaccin s’est révélé sûr pour elles. Comme on ne sait pas combien de temps durent les anticorps contre la COVID-19 après l’infection et qu’il est possible de contracter à nouveau l’infection (parfois plus gravement), le vaccin est recommandé, car il peut être utile pour renforcer l’immunité existante d’une personne contre la COVID-19.</p><h2>Combien de temps dois-je attendre après avoir été infecté par la COVID-19 pour recevoir le vaccin?</h2><p>Il n’y a pas de délai particulier à respecter entre l’infection et la vaccination. Tant que vous ne présentez plus de symptômes, que vous avez terminé la période d’isolement volontaire conformément aux directives de santé publique locales et que vous êtes complètement remis du virus, la vaccination est recommandée.</p><h2>Le fait de recevoir le vaccin contre la COVID-19 aidera-t-il mon enfant à retourner à l’école ou à reprendre d’autres activités régulières?</h2><p>Tous les enfants et les jeunes bénéficient des activités éducatives, physiques et des autres activités extrascolaires régulières. On s’attend à ce que, lorsqu’un nombre suffisant de personnes seront vaccinées contre la COVID-19, le risque d’infection pour votre enfant, et pour la population générale, diminuera. Jusqu’à ce que la population soit protégée, il est important de continuer à suivre les conseils des autorités de santé publique pour réduire le risque de contracter et de transmettre la COVID-19.</p><h2>À la suite de la recrudescence des cas de COVID-19 et des restrictions qui en découlent, l’anxiété monte pour ma famille. Où puis-je trouver des ressources sur la santé mentale pour les soignants et les enfants?</h2><p>La pandémie de COVID-19 et les nouvelles restrictions ont une incidence sur le bien-être des soignants et de leurs enfants. Vous pouvez également parler à votre fournisseur de soins primaires de l’accès aux services de santé mentale dans votre communauté.</p> <h2>Références</h2><p>Centers for Disease Control and Prevention. (2021, February 26). COVID-19 Vaccination. Consulté à l’adresse <a href="https://www.cdc.gov/vaccines/covid-19/index.html">https://www.cdc.gov/vaccines/covid-19/index.html</a></p><p>Centers for Disease Control and Prevention. (2021, March 8). Science Brief: Background Rationale and Evidence for Public Health Recommendations for Fully Vaccinated People. Consulté à l’adresse <a href="https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/more/fully-vaccinated-people.html">https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/more/fully-vaccinated-people.html</a></p><p>Government of Ontario – Ministry of Health. (2020, March 31). COVID-19 vaccines for Ontario. Consulté à l’adresse <a href="https://covid-19.ontario.ca/covid-19-vaccines-ontario">https://covid-19.ontario.ca/covid-19-vaccines-ontario</a></p><p>Health Canada. (2021, October 18). Health Canada receives submission from Pfizer-BioNTech to authorize the use of Comirnaty COVID-19 vaccine in children 5 to 11 years of age. Consulté à l’adresse <a href="https://www.canada.ca/en/health-canada/news/2021/10/health-canada-receives-submission-from-pfizer-biontech-to-authorize-the-use-of-comirnaty-covid-19-vaccine-in-children-5-to-11-years-of-age.html">https://www.canada.ca/en/health-canada/news/2021/10/health-canada-receives-submission-from-pfizer-biontech-to-authorize-the-use-of-comirnaty-covid-19-vaccine-in-children-5-to-11-years-of-age.html</a></p><p>ImmunizeBC. (2021, March 12). COVID-19 Vaccine Frequently Asked Questions. Consulté à l’adresse <a href="https://immunizebc.ca/covid-19-vaccine-frequently-asked-questions">https://immunizebc.ca/covid-19-vaccine-frequently-asked-questions</a></p><p>ImmunizeCanada. (2021, February 18). COVID-19 Info. Consulté à l’adresse <a href="https://immunize.ca/covid-19-info">https://immunize.ca/covid-19-info</a></p><p>National Advisory Committee on Immunization. (2021, May 5). Recommendations on the use of COVID-19 vaccines. Consulté à l’adresse <a href="https://www.canada.ca/content/dam/phac-aspc/documents/services/immunization/national-advisory-committee-on-immunization-naci/recommendations-use-covid-19-vaccines/recommendations-use-covid-19-vaccines-en.pdf">https://www.canada.ca/content/dam/phac-aspc/documents/services/immunization/national-advisory-committee-on-immunization-naci/recommendations-use-covid-19-vaccines/recommendations-use-covid-19-vaccines-en.pdf</a></p><p>Pfizer. (2021, September 20). Pfizer and BioNTech Announce Positive Topline Results from Pivotal Trial of COVID-19 Vaccine in Children 5 to 11 Years. Consulté à l’adresse <a href="https://www.pfizer.com/news/press-release/press-release-detail/pfizer-and-biontech-announce-positive-topline-results">https://www.pfizer.com/news/press-release/press-release-detail/pfizer-and-biontech-announce-positive-topline-results</a></p><p>Pfizer. (2021, September 28). Pfizer and BioNTech Submit Initial Data to U.S. FDA From Pivotal Trial of COVID-19 Vaccine in Children 5 to <12 Years of Age. Consulté à l’adresse <a href="https://www.pfizer.com/news/press-release/press-release-detail/pfizer-and-biontech-submit-initial-data-us-fda-pivota">https://www.pfizer.com/news/press-release/press-release-detail/pfizer-and-biontech-submit-initial-data-us-fda-pivota</a>l</p><p>Public Health Agency of Canada. (2021, September 28). Advisory Committee Statement (ACS) National Advisory Committee on Immunization (NACI): Recommendations on the use of COVID-19 vaccines. Consulté à l’adresse <a href="https://www.canada.ca/content/dam/phac-aspc/documents/services/immunization/national-advisory-committee-on-immunization-naci/recommendations-use-covid-19-vaccines/recommendations-use-covid-19-vaccines-en.pdf">https://www.canada.ca/content/dam/phac-aspc/documents/services/immunization/national-advisory-committee-on-immunization-naci/recommendations-use-covid-19-vaccines/recommendations-use-covid-19-vaccines-en.pdf</a></p><p>Walter, E.B., Talaat, K.R., Sabharwal, C., Gurtman, A., Lockhart, S., Paulsen, G.C.,…Gruber, W.C., for the C4591007 Clinical Trial Group. (2021). Evaluation of the BNT162b2 Covid-19 Vaccine in Children 5 to 11 Years of Age. <em>New England Journal of Medicine</em>. Consulté à l’adresse <a href="https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2116298">https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2116298</a></p><p>World Health Organization. (2021, February 19). COVID-19 vaccines. Consulté à l’adresse <a href="https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/covid-19-vaccines">https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/covid-19-vaccines</a></p>https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/COVID-19_Vaccine.jpg Découvrez quels vaccins contre la COVID-19 sont disponibles au Canada, et trouvez des renseignements sur la mise au point des vaccins. Main
Fracture : comment traiter une fracture en motte de beurre du radius distalFracture : comment traiter une fracture en motte de beurre du radius distalFracture: How to treat a buckle fracture of the distal radiusFFrenchOrthopaedics/MusculoskeletalChild (0-12 years);Teen (13-18 years)Lower armBonesNon-drug treatmentCaregivers Adult (19+)NAhttps://assets.aboutkidshealth.ca/akhassets/PST_splint_wrist_EN.jpg2017-02-16T05:00:00Z7.0000000000000075.00000000000001043.00000000000Health (A-Z) - ProcedureHealth A-Z<p>Informez-vous sur les fractures en motte de beurre et sur la façon de les traiter avec une attelle.</p><div class="akh-series"><div class="row"><div class="col-md-12"> <figure> <span class="asset-image-title">Fracture en motte de beurre du radius distal</span><img src="https://assets.aboutkidshealth.ca/akhassets/IMD_fracture_buckle_FR.jpg" alt="Illustration d’un bras avec une fracture en motte de beurre du radius" /><figcaption class="asset-image-caption">La fracture en motte de beurre la plus courante chez les enfants se produit dans le radius distal. Parfois, un enfant aura également une fracture mineure du cubitus.</figcaption> </figure> <h2>Qu’est-ce qu’une fracture en motte de beurre?</h2><p>Une fracture en motte de beurre se produit lorsqu’un os « se tord » ou s’écrase légèrement sur lui-même. Le type le plus courant de fracture en motte de beurre chez les enfants se produit à l’avant-bras, près du poignet, en général après qu’ils tombent le bras tendu. La blessure touche le radius en particulier.</p></div></div></div><h2>Où se trouve le radius?</h2> <p>Le radius va du coude à la main. Il compose l’avant-bras avec le cubitus, l’os qui lui est parallèle.La partie « distale » du radius est la partie la plus éloignée du centre du corps, autrement dit la partie la plus proche du poignet.</p> <p>Les fractures en motte de beurre ne surviennent que chez les enfants et sont très courantes. Les os des enfants sont plus mous que ceux des adultes et sont capables de fléchir et de se comprimer sans se casser entièrement.Bien que l’os ne se casse pas entièrement, la fracture peut tout de même engendrer de la douleur.</p><h2>À retenir</h2> <ul> <li>Une fracture en motte de beurre du radius distal est une cassure partielle de l’os. Il s’agit de la fracture la plus courante chez les enfants.</li> <li>Presque tous les enfants se rétablissent très bien dans les quatre semaines qui suivent avec l’aide d’une attelle amovible en guise de protection qui permet de gérer la douleur.</li> <li>Votre enfant devrait éviter toute activité physique qui pourrait créer une nouvelle blessure du poignet pendant au moins trois semaines après le retrait de l’attelle (en général, six à huit semaines à partir de la date de la blessure).</li> <li>Rendez visite à votre médecin de famille dans les deux semaines suivant la blessure afin d’évaluer la guérison de la fracture en motte de beurre.</li> </ul><h2>Quand mon enfant devrait-il porter son attelle?</h2><p>Votre enfant devrait porter son attelle pendant la journée, mais il peut l’enlever au moment du bain. Pendant la première semaine, la majorité des enfants portent également l’attelle la nuit pour plus de confort, mais vous pouvez la retirer au coucher une fois qu’elle n’est plus nécessaire pour gérer la douleur.</p><h2>Comment est-ce que j’enlève l’attelle?</h2><p>Lorsque vous enlevez l’attelle :</p><ul><li>votre temps et faites très attention;</li><li>assurez-vous que votre enfant est calme;</li><li>laissez votre enfant remuer son poignet, doucement et lentement.</li></ul><h2>Est-ce que mon enfant peut retourner à l’école ou à la garderie avec son attelle?</h2><p>Votre enfant peut retourner à l’école ou à la garderie en portant son attelle le lendemain de sa fracture. Assurez-vous que le personnel est au courant que son bras est blessé, afin qu’il puisse prendre les mesures appropriées.</p><h2>Quand mon enfant sera-t-il de nouveau capable de remuer son poignet et sa main normalement?</h2><p>La plupart des enfants commencent à réutiliser leur poignet et leur main alors qu’ils portent encore leur attelle. Votre enfant pourrait utiliser son bras blessé à mesure qu’il guérit, mais il devrait le mettre au repos en cas de douleur.</p><h2>Quand mon enfant peut-il cesser de porter son attelle?</h2><p>Selon la guérison de votre enfant, habituellement celui-ci pourra cesser de porter l’attelle après deux ou trois semaines. Quelques enfants doivent porter l’attelle jusqu’à quatre à six semaines pour des raisons de confort.</p><p>Vous ne devriez retirer l’attelle complètement que lorsque le poignet de votre enfant n’est plus douloureux. S’il est toujours douloureux, remettez l’attelle en place pour une semaine supplémentaire. Répétez cette étape jusqu’à ce que la douleur disparaisse.</p><h2>Que devrais-je faire si mon enfant continue d’enlever son attelle?</h2><p>La première semaine, voire les deux premières semaines, après la blessure, essayez d’attacher les sangles de l’attelle avec du ruban adhésif.</p><p>Si votre enfant tente de retirer l’attelle après la deuxième semaine, qu’il semble ne pas avoir de douleur et qu’il veut utiliser son bras et sa main normalement, ne lui remettez pas l’attelle et surveillez-le. À ce stade, la fracture en motte de beurre est probablement guérie et votre enfant ne devrait pas se blesser une nouvelle fois, sauf s’il pratique un sport de contact. À quoi dois-je m’attendre une fois l’attelle enlevée?Il se peut que le bras de votre enfant soit légèrement raide à force d’être resté dans une attelle et que les mouvements de votre enfant soient mal assurés au début. Cela devrait passer, car l’enfant utilise plus son bras ou son poignet.</p><h2>À quoi dois-je m’attendre une fois l’attelle enlevée?</h2> <p>Il se peut que le bras de votre enfant soit légèrement raide à force d’être resté dans une attelle et que les mouvements de votre enfant soient mal assurés au début. Cela devrait passer, car l’enfant utilise plus son bras ou son poignet.</p> <h2>Une fois l’attelle enlevée, est-ce que mon enfant peut reprendre toutes ses activités physiques?</h2> <p>Les six premières semaines suivant la blessure, ou les trois premières semaines après le retrait de l’attelle, votre enfant devrait éviter l’éducation physique, les sports, l’escalade ou toute autre activité; s’il utilise une balançoire ou un toboggan, par exemple, il pourrait tomber et se blesser le poignet une nouvelle fois.</p> <h2>Quand mon enfant devrait-il voir un médecin concernant sa blessure? </h2> <p>Une fois que votre enfant quitte l’hôpital, il serait bon de consulter votre médecin de famille dans les deux semaines. Le médecin vérifiera que le poignet de votre enfant guérit correctement et il pourra aider à répondre aux questions éventuelles que vous vous posez sur les activités que votre enfant peut effectuer.</p> <h2>Que devrais-je faire avec l’attelle une fois que celle-ci sera enlevée?</h2> <p>Il vaut mieux rester prudent et garder l’attelle pendant quelques jours jusqu’à ce que vous soyez certain que votre enfant n’en a plus besoin.</p><h2>De quelle façon traite-t-on les fractures en motte de beurre du radius distal?</h2> <figure><span class="asset-image-title">Attelle</span><img src="https://assets.aboutkidshealth.ca/akhassets/PST_splint_wrist_EN.jpg" alt="" /> </figure> <p>Lorsque votre enfant arrive à l’hôpital avec un bras cassé, il sera examiné avec attention. Souvent, le médecin prescrira une radiographie pour vérifier si une blessure est présente.</p><p>S’il y a une fracture en motte de beurre du radius distal, le médecin recommandera de poser une attelle.</p><p>Le traitement idéal pour ce type de fracture est une attelle plutôt qu’un plâtre circulaire complet. Étant donné que les os ne sont que partiellement brisés, ils guérissent très bien en l’espace de quelques semaines grâce au soutien et à la protection apportés par une attelle. Une attelle facilite également les activités quotidiennes normales, par exemple les bains, et elle peut souvent épargner des visites supplémentaires chez le médecin.</p><p>Une fois traitée correctement, une fracture en motte de beurre ne cause aucun problème à long terme pour ce qui est des mouvements ou de l’aspect du bras ou du poignet de votre enfant.</p><h2>À quoi dois-je m’attendre les premiers jours suivant la blessure de mon enfant?</h2><p>Il se peut que votre enfant ait mal au poignet. Si votre enfant est souffrant à la maison, donnez-lui de l'<a href="/Article?contentid=153&language=French">ibuprofène</a> ou de <a href="/Article?contentid=62&language=French">l’acétaminophène​</a>, selon les indications de votre médecin.<br></p><p>Le poignet de votre enfant pourrait également être légèrement enflé en raison de la blessure des tissus et des os. Cette enflure disparaît généralement une à deux semaines plus tard. Les deux ou trois premiers jours, vous pouvez aider à réduire l’enflure en surélevant (soulevant) le bras blessé de votre enfant au-dessus de sa poitrine. Pour ce faire, demandez-lui de s’allonger et de placer son bras blessé sur un grand coussin ou oreiller.</p>Fracture en motte de beurre du radius distal La fracture en motte de beurre se produit lorsque l’os s’écrase légèrement sur lui-même. Découvrez comment poser une attelle pour la réduire.Main
Influenza (grippe)Influenza (grippe)Influenza (flu): An overviewIFrenchInfectious DiseasesChild (0-12 years);Teen (13-18 years)BodyImmune systemConditions and diseasesCaregivers Adult (19+)Cough;Fever;Headache;Sore throat2019-12-04T05:00:00Z1040.00000000000Health (A-Z) - ConditionsHealth A-Z<p>Même si la grippe est très fréquente, elle peut très dangereuse pour certain, y compris les jeunes enfants, les personnes âgées et les gens dont le système immunitaire est compromis. Apprenez-en davantage sur l'influenza et comment se protéger.<br></p><h2>Qu'est-ce que l'influenza?</h2> <p>L'influenza (la grippe) est une infection pulmonaire causée par un virus. Les gens contractent la grippe à tou​t moment de l'année, mais elle est plus fréquente en automne et en hiver. </p><h2>À retenir</h2><ul><li>L'influenza (grippe) est différente du rhume.</li><li>La grippe est causée par le virus de l’influenza. </li><li>La plupart des gens qui attrapent la grippe ne tombent pas gravement malades et présenteront des symptômes pendant deux à sept jours.</li><li>Se faire vacciner tous les ans et se laver les mains fréquemment peut aider à prévenir la grippe.</li><li>Si vous ou votre enfant êtes infecté, le mieux est de rester à la maison et de vous reposer. Si l'état de votre enfant ou le vôtre ne s'améliore pas au bout de quelques jours ou si les symptômes s'aggravent, communiquez avec votre médecin.</li></ul><h2>Symptômes courants de la grippe</h2><p>Les personnes atteintes de la grippe présentent habituellement la totalité ou une partie de ces symptômes : </p><ul><li><a href="/article?contentid=30&language=french">fièvre</a></li><li>douleurs musculaires</li><li><a href="/article?contentid=29&language=french">maux de tête</a></li><li><a href="/article?contentid=748&language=french">maux de gorge</a></li><li><a href="/article?contentid=774&language=french">toux</a></li><li>fatigue ou faiblesse</li></ul><p>La plupart de ces symptômes durent environ de deux à sept jours. Des complications rares mais graves de la grippe sont possibles, comme une pneumonie bactérienne et une infection grippale du cerveau. <br></p><h2>La grippe peut être grave pour certaines personnes</h2><p>La plupart des gens qui attrapent la grippe ne seront pas gravement malades, mais la grippe peut être plus grave pour certaines personnes. Habituellement, les personnes les plus à risque font partie de l'un des groupes suivants : </p><ul><li>enfants très jeunes, âgés de moins de deux ans;</li><li>personnes âgées de 65 ans ou plus;</li><li>personnes qui vivent dans des établissements de soins de longue durée, comme un foyer de soins, une résidence pour personnes âgées ou un hôpital de soins chroniques;</li><li>personnes aux prises avec une maladie cardiaque, pulmonaire ou rénale chronique; </li><li>personnes qui ont du diabète, un cancer, des problèmes de système immunitaire ou l'anémie falciforme;</li><li>enfants et adolescents âgés de six mois à 18 ans qui ont déjà pris de l'<a href="/article?contentid=77&language=french">acide acétylsalicylique</a> (AAS) pendant de longues périodes; </li><li>personnes qui ont de la difficulté à évacuer le mucus du nez et de la gorge parce qu'elles sont trop faibles ou ont une maladie sous-jacente. </li></ul><p>Toute personne qui vit ou travaille avec des personnes qui font partie de ces groupes doit être immunisée grâce au vaccin antigrippal. De cette manière, il y a moins de risques que les personnes qui font partie des groupes à risque élevé soient infectées par le virus de la grippe.<br></p><h2>Comment se propage la grippe<br></h2> <p>La grippe se propage très facilement d'une personne infectée à d'autres par la toux et les éternuements. Elle se propage aussi en touchant des objets qu'une personne grippée a touchés. </p><h2>Traitement de la grippe</h2><p>Si vous ou votre enfant êtes infecté, restez à la maison et reposez-vous. Habituellement, le traitement est centré sur les symptômes ressentis par la personne. Par exemple, si votre enfant a de la fièvre, vous pouvez lui donner de l'acétaminophène pour la réduire. </p><p>Ne donnez pas d'<a href="/article?contentid=77&language=french">acide acétylsalicylique</a> (AAS) aux enfants âgés de moins de 16 ans. Ne donnez pas des médicaments contre la toux aux enfants de moins de six ans. Lisez toujours les instructions sur l'étiquette avant d'administrez aucun médicament.<br></p><p>En plus des liquides et des analgésiques, voici d'autres façons de soulager les symptômes de la grippe :</p><ul><li>appliquer de la chaleur sur les muscles endoloris pendant de courtes périodes à l'aide d'une bouillotte ou d'un coussin chauffant;<br></li><li>prendre un bain chaud;<br></li><li>se gargariser avec de l'eau tiède;<br></li><li>pour un nez congestionné, utiliser un vaporisateur ou des gouttes de solution saline et une poire à succion;<br></li><li>faites de votre domicile un milieu sans fumée.<br></li></ul><p>Consultez votre fournisseur de soins primaires si les mesures ci-dessus n'aident pas à soulager les symptômes de votre enfant et si ses symptômes s'aggravent ou si vous êtes inquiet.</p><h2>Votre enfant est grippé à l'hôpital</h2><p>Votre enfant sera placé dans une chambre privée et ne pourra pas aller à la salle de jeu avant qu'il n'aille mieux. Demandez à l'éducateur en milieu pédiatrique d'apporter des jouets et des fournitures dans la chambre. </p><p>Le personnel de l'hôpital portera un masque, des lunettes de protection, des gants et des blouses d'hôpital quand il visitera votre enfant. </p><p>Lavez-vous les mains souvent, soit avec des tampons d'alcool soit avec de l'eau et du savon, avant et après de toucher votre enfant et avant de sortir de sa chambre. Le personnel de l'hôpital doit aussi se laver les mains. </p><p>Si vous ou une autre personne ayant rendu visite à l'enfant présentez des symptômes ou tombez malade, dites-le au médecin ou à l'infirmier. </p><h2>Prévenir la grippe</h2><p>Pour aider à prévenir la grippe, c'est important de vous faire vacciner (vous et votre enfant) contre la grippe tous les ans.</p><p>Vous devrez aussi vous <a href="/article?contentid=1981&language=french">laver bien les mains</a>. Cela peut vous empêcher de contracter ou de propager le virus de la grippe. C'est particulièrement important dans les hôpitaux, mais aussi ailleurs.<br></p><p>Nettoyez régulièrement les surfaces dans votre maison, surtout celles qui son fréquemment touchées. Celles-ci incluent les poignées de porte, le réfrigérateur, les interrupteurs d'éclairage, les téléphones et les ordinateurs.</p><p>Si vous avez la grippe, vous devriez faire ce qui suit pour éviter sa propagation : </p><ul><li>Toujours se couvrir la bouche ou le nez avec un mouchoir quand vous toussez ou éternuez, et jetez le mouchoir. Ensuite, lavez-vous les mains. Ces étapes préviendront la propagation de la grippe et d'autres virus respiratoires. </li><li>Ne vous rendez pas dans un hôpital quand vous avez des symptômes de la grippe. Aucune personne malade ne devrait aller voir un patient à l'hôpital, même si c'est un membre de la famille. </li></ul><h2>Le vaccin antigrippal</h2><p>Le vaccin antigrippal est fait d'éléments du virus de la grippe soit mort, soit rendu inoffensif. Il contient trois à quatre types de virus de la grippe. Une personne qui reçoit le vaccin antigrippal développe une immunité contre les types de grippe contenus dans le vaccin. L'immunité, c'est le corps qui fabrique des défenses naturelles contre le virus. </p><p>Le corps a besoin d'environ deux semaines après la vaccination pour fabriquer ces défenses contre le virus. La protection dure environ six mois. </p><p>Le vaccin antigrippal ne protège pas contre les autres virus, comme ceux qui cause les rhumes. </p><h3>Un nouveau vaccin chaque année</h3><p>Nous avons tous besoin d'un nouveau vaccin antigrippal chaque année. Le virus change chaque année, donc il faut utiliser un vaccin différent chaque année. Des médecins et des scientifiques travaillent à découvrir les types de virus de la grippe qui circulent partout dans le monde. Le vaccin est ensuite fabriqué pour assurer une protection contre les types de grippe qui ont le plus de risques de se manifester chaque année. </p><h3>La plupart des gens peuvent se faire vacciner</h3><p>Le vaccin antigrippal est gratuit pour les résidents de l'Ontario. Toute personne âgée de plus de six mois devrait se faire vacciner contre la grippe, à moins qu'une raison ne l'empêche. Le meilleur temps pour se faire vacciner, c'est l'automne, avant que la grippe devient plus courante. Demandez au fournisseur de soins primaires si votre enfant peut se faire vacciner. </p><h2>Quand rechercher une aide médicale</h2><p>Consultez un m​édecin ou rendez-vous à l'hôpital si votre bébé est âgé de moins de trois mois et qu'il :</p><ul><li>a de la fièvre;<br></li><li>respire rapidement ou difficilement;<br></li><li>vomit ou refuse les tétés.</li></ul><p>Consultez un​ médecin si votre enfant :</p><ul><li>est plus somnolent que d’habitude;<br></li><li>est plus grincheux que d’habitude;<br></li><li>ne boit pas assez de liquides ou n'urine pas au moins toutes les six heures quand il est réveillé;<br></li><li>vomit;<br></li><li>a mal à la poitrine ou à l’estomac;<br></li><li>ne se sent pas mieux au bout de cinq jours ou bien son état s'améliore, puis s'aggrave soudainement.</li></ul><p>Composez​ le 911 ou rendez-vous immédiatement aux services d'urgence les plus proches si votre enfant :</p><ul><li>respire rapidement ou semble y travailler fort;<br></li><li>se sent faible ou étourdi, est difficile à réveiller ou ne réagit pas;<br></li><li>est très grincheux et vous n’arrivez pas à le réconforter;<br></li><li>boite ou refuse de marcher;<br></li><li>a les lèvres ou la peau bleuâtres ou d'une teinte foncée;<br></li><li>a le cou rigide, a un mal de tête sévère ou est pris de convulsions;<br></li><li>a un rythme cardiaque très rapide, même lorsque la fièvre s’est abaissée.</li></ul><p>Si vous vous préoccupez de l'état de votre enfant, communiquez avec votre médecin ou avec votre service de santé publique local. En Ontario, vous pouvez aussi appeler Télésanté Ontario au 1-866-797-0000.</p><p>Si vous ou votre enfant faites partie d'un des groupes à risque élevé, appelez votre médecin au moment que vous remarquez des symptômes de la grippe. Il existe des antiviraux spécifiques qui aide à traiter la grippe, mais il faut les commencer au début de la maladie pour qu'ils soient efficaces. Communiquez avec le médecin de votre enfant pour en savoir davantage.</p>https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/influenza_overview.jpg La grippe peut dangereuse pour certain, compris les enfants et les gens dont le système immunitaire est compromis. Apprenez-en davantage sur l'influenza.Main
Santé mentaleSanté mentaleMental healthSFrenchPsychiatryTeen (13-18 years)NANAHealthy living and prevention;Conditions and diseasesTeen (13-18 years)NALanding PageLearning Hub<p>Apprenez à soutenir votre santé mentale et votre bien-être général et à reconnaître et gérer divers troubles de santé mentales.</p><p>Apprenez à soutenir votre santé mentale et votre bien-être général et à reconnaître et gérer divers troubles de santé mentales.</p><div class="panel panel-primary"><div class="panel-heading clickable"> <span class="pull-right panel-heading-collapsable-icon"> <i class="mdi mdi-chevron-down"></i></span><h2 class="panel-title">Le bien-être</h2></div><div class="panel-body list-group" style="display:none;"><p>Les pressions quotidiennes à la maison, à l'école et dans votre vie sociale peuvent mettre à l'épreuve votre santé mentale. Découvrez comment de bonnes habitudes de sommeil, l'activité physique, une alimentation équilibrée et des limites au temps passé devant un écran peuvent stimuler votre santé mentale et votre bien-être général.</p></div><ol class="list-group" style="display:none;"><li><div class="panel-heading clickable"> <span class="pull-right panel-heading-collapsable-icon"> <i class="mdi mdi-chevron-down"></i></span><h3>Le lien corps-esprit et la somatisation</h3></div><ol class="list-group" style="display:none;"><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3772&language=French">Somatisation</a></li></ol></li><li><div class="panel-heading clickable"> <span class="pull-right panel-heading-collapsable-icon"> <i class="mdi mdi-chevron-down"></i></span><h3>Le sommeil</h3></div><ol class="list-group" style="display:none;"><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3632&language=French">Le sommeil et la santé mentale : présentation générale</a></li><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3633&language=French">Sommeil et santé mentale : établir une routine pour l’heure du coucher</a></li></ol></li><li><div class="panel-heading clickable"> <span class="pull-right panel-heading-collapsable-icon"> <i class="mdi mdi-chevron-down"></i></span><h3>L'activité physique</h3></div><ol class="list-group" style="display:none;"><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3783&language=French">Activité physique et santé mentale : présentation générale</a></li><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3784&language=French">Activité physique et santé mentale : types d’activités physiques </a></li></ol></li><li><div class="panel-heading clickable"> <span class="pull-right panel-heading-collapsable-icon"> <i class="mdi mdi-chevron-down"></i></span><h3>La nutrition et la santé mentale</h3></div><ol class="list-group" style="display:none;"><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3773&language=French">Nutrition et santé mentale : notions de base d’une alimentation saine</a></li><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3774&language=French">Nutrition et santé mentale : acquérir de bonnes habitudes alimentaires</a></li></ol></li><li><div class="panel-heading clickable"> <span class="pull-right panel-heading-collapsable-icon"> <i class="mdi mdi-chevron-down"></i></span><h3>Le temps d'écran et les médias sociaux</h3></div><ol class="list-group" style="display:none;"><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3775&language=French">Temps d’écran pour les adolescents : présentation générale</a></li><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3776&language=French">Établir des limites et rester en sécurité devant un écran</a></li></ol></li><li><div class="panel-heading clickable"> <span class="pull-right panel-heading-collapsable-icon"> <i class="mdi mdi-chevron-down"></i></span><h3>Le stress et la résilience</h3></div><ol class="list-group" style="display:none;"><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3777&language=French">Le stress et la santé</a></li><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3778&language=French">Comment devenir plus résilient</a></li></ol></li></ol></div><div class="panel panel-primary"><div class="panel-heading clickable"> <span class="pull-right panel-heading-collapsable-icon"> <i class="mdi mdi-chevron-down"></i></span><h2 class="panel-title">La santé mentale et les maladies chroniques</h2></div><div class="panel-body list-group" style="display:none;"><p>Recevoir un diagnostic de maladie chronique et apprendre à la gérer peuvent avoir un impact sur votre routine quotidienne et santé mentale. Découvrez comment protéger votre santé mentale et bien-être tout en apprenant à vivre avec une maladie chronique.</p></div><ol class="list-group" style="display:none;"><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3779&language=French">Favoriser ta santé mentale et ton bien-être</a></li><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3780&language=French">Apprendre à vivre avec une maladie chronique</a></li></ol></div><div class="panel panel-primary"><div class="panel-heading clickable"> <span class="pull-right panel-heading-collapsable-icon"> <i class="mdi mdi-chevron-down"></i></span><h2 class="panel-title">Les troubles d'alimentation</h2></div><div class="panel-body list-group" style="display:none;"><p>Les troubles d'alimentation peuvent impacter votre santé mentale et physique, et peuvent aussi affecter votre famille. Renseignez-vous sur les symptômes et la prise en charge de l'anorexie, de la boulimie, du trouble d'alimentation sélective et/ou d'évitement et de l'hyperphagie boulimique, et comment vous aider vous-même pendant la récupération.</p></div><ol class="list-group" style="display:none;"><li><div class="panel-heading clickable"> <span class="pull-right panel-heading-collapsable-icon"> <i class="mdi mdi-chevron-down"></i></span><h3>Anorexie</h3></div><ol class="list-group" style="display:none;"><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3785&language=French">Anorexie : présentation générale</a></li><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3786&language=French">Anorexie : traitements et résultats à long terme</a></li></ol></li><li><div class="panel-heading clickable"> <span class="pull-right panel-heading-collapsable-icon"> <i class="mdi mdi-chevron-down"></i></span><h3>Boulimie</h3></div><ol class="list-group" style="display:none;"><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3787&language=French">Boulimie : présentation générale</a></li><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3788&language=French">Boulimie : traitement et résultats à long terme</a></li></ol></li><li><div class="panel-heading clickable"> <span class="pull-right panel-heading-collapsable-icon"> <i class="mdi mdi-chevron-down"></i></span><h3>Trouble d’alimentation sélective et/ou d’évitement (ARFID)</h3></div><ol class="list-group" style="display:none;"><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3789&language=French">Trouble d’alimentation sélective et/ou d’évitement (ARFID) : présentation générale</a></li><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3790&language=French">Trouble d’alimentation sélective et/ou d’évitement : traitement et résultats à long terme</a></li></ol></li><li><div class="panel-heading clickable"> <span class="pull-right panel-heading-collapsable-icon"> <i class="mdi mdi-chevron-down"></i></span><h3>L’hyperphagie boulimique</h3></div><ol class="list-group" style="display:none;"><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3791&language=French">L’hyperphagie boulimique : présentation générale</a></li><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3792&language=French">L’hyperphagie boulimique : traitement et résultats à long terme</a></li></ol></li></ol></div><div class="panel panel-primary"><div class="panel-heading clickable"> <span class="pull-right panel-heading-collapsable-icon"> <i class="mdi mdi-chevron-down"></i></span><h2 class="panel-title">Les événements traumatisants</h2></div><div class="panel-body list-group" style="display:none;"><p>De nombreux jeunes vivent des événements traumatisants. Apprenez-en davantage au sujet des réactions possibles à des événements traumatisants, quand consulter un professionnel de la santé et les différents types de traitement et méthodes d'adaptation disponibles.</p></div><ol class="list-group" style="display:none;"><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3781&language=French">Les événements traumatisants</a></li><li class="list-group-item"><a class="overview-links" href="/Article?contentid=3793&language=French">Les événements traumatisants : traitement et stratégies d’adaptation</a></li></ol></div>https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/teen_mentalhealth1.jpgsantementalesantementaleLa santé mentale Apprenez à soutenir votre santé mentale et votre bien-être général et à reconnaître et gérer divers troubles de santé mentales.Teens
Vaccins : préoccupations concernant la vaccination de votre enfantVaccins : préoccupations concernant la vaccination de votre enfantVaccines: Concerns about immunizing your childVFrenchInfectious DiseasesChild (0-12 years);Teen (13-18 years)NAImmune systemHealthy living and preventionAdult (19+) CaregiversNA2019-07-12T04:00:00ZFlat ContentHealth A-Z<p>De nombreux parents se posent des questions sur les vaccins. Vous trouverez ici des informations sur le nombre de maladies contre lesquelles les vaccins protègent les enfants au Canada. Renseignez-vous également sur l’innocuité des vaccins et sur les effets secondaires que votre enfant pourrait ressentir. Enfin, apprenez comment les vaccins sont administrés et ce que vous pouvez faire pour que cette expérience soit moins stressante pour votre enfant.</p><p>En tant que parent, avez-vous des inquiétudes quant à la vaccination de vos enfants? Vous n’êtes pas seul(e). Au Canada, un parent sur trois a déclaré avoir quelques doutes et préoccupations mineures concernant la vaccination de son enfant. Par exemple, en Ontario, le taux moyen de vaccination des enfants de 7 ans contre la rougeole était de 88 % pour l’année scolaire 2017-2018. Cependant, dans les régions comme Toronto, le taux de vaccination contre la rougeole des enfants de 7 ans n’était que de 74 %. Les raisons pour lesquelles les gens choisissent de ne pas faire vacciner leurs enfants sont complexes.</p><p>En plus de toutes les questions que vous pourriez vous poser, vous ne savez peut-être pas quoi et qui croire ou où obtenir vos informations. Vous entendez parler des vaccins par le fournisseur de soins de santé primaires de votre enfant, dans les médias, par des amis et des membres de votre famille ou en lisant des informations sur Internet. Souvent, les informations semblent contradictoires.</p><h2>À retenir</h2><ul><li>Toutes les maladies contre lesquelles les enfants sont vaccinés sont graves et peuvent provoquer des affections, des complications et même la mort.</li><li>Les enfants qui ne sont pas vaccinés sont en danger dans leur propre communauté, lorsqu’ils voyagent ou lorsque des infections sont introduites dans le pays.</li><li>Les vaccins sont très sûrs et font l’objet d’essais approfondis avant d’être approuvés, et la plupart d’entre eux offrent une protection de plus de 90 % contre la maladie.</li><li>Il existe de nombreuses preuves scientifiques que les vaccins ne provoquent pas l’autisme et aucune donnée scientifique ne porte à croire qu’ils le font.</li><li>Votre enfant peut recevoir sans danger plusieurs vaccins en même temps, et la plupart des effets secondaires sont mineurs et temporaires.</li></ul><h2>Les faits sur les vaccins</h2><p>Pour obtenir les informations dont vous avez besoin, il est utile d’avoir une bonne relation et une communication ouverte avec le fournisseur de soins de santé de votre enfant. <a href="https://www.aboutkidshealth.ca/Article?contentid=1144&language=English">Pour préparer le rendez-vous de votre enfant chez son fournisseur de soins de santé</a>, vous pouvez notamment noter par écrit toutes les questions ou préoccupations que vous avez au sujet des vaccins afin de vous assurer de ne rien oublier, et parler à votre fournisseur de soins de santé de ce qui vous préoccupe.</p><p>Les programmes de vaccination au Canada protègent actuellement les enfants contre 15 maladies. Dans la plupart des cas, ces vaccins offrent une protection de plus de 90 % contre la maladie. À l’échelle mondiale, la vaccination permet actuellement d’éviter deux à trois millions de décès chaque année.</p><p>Toutes les maladies contre lesquelles les enfants sont vaccinés sont graves. Toutes les maladies évitables grâce à la vaccination peuvent provoquer des affections, des complications et même la mort. Par exemple, les complications de la rougeole comprennent la <a href="https://www.aboutkidshealth.ca/Article?contentid=7&language=English">diarrhée</a>, les <a href="https://www.aboutkidshealth.ca/Article?contentid=8&language=English">otites</a> et la <a href="https://www.aboutkidshealth.ca/Article?contentid=784&language=English">pneumonie</a>, et surviennent dans environ trois cas sur dix. Un à deux cas sur mille de rougeole entraînent également la mort. Au Canada, entre un et quatre bébés meurent chaque année de la coqueluche, et environ un bébé sur 400 qui survit à la coqueluche aura des lésions cérébrales permanentes.</p><p>Les éclosions d’infections évitables grâce à la vaccination continuent de se produire. Lorsque les taux d’immunisation baissent, un plus grand nombre de personnes sont susceptibles de contracter l’infection, et ce qui était autrefois une maladie rare peut devenir plus courant parmi la population. Des infections évitables grâce à la vaccination, peu fréquentes au Canada, se produisent encore dans d’autres parties du monde. Tout enfant qui n’est pas vacciné est en danger lorsqu’il voyage ou lorsque des infections sont ramenées au Canada.</p><p>La population bénéficie de la meilleure protection lorsque la plupart ou la totalité des personnes sont totalement immunisées. Moins il y a de personnes vulnérables dans une population, moins une maladie infectieuse aura de risque de se propager (immunité collective).</p><h2>Innocuité des vaccins</h2><p>Les vaccins sont très sûrs. Avant d’être approuvés, les vaccins sont soumis à des essais approfondis. Ils passent par de nombreuses étapes pour démontrer qu’ils sont sûrs et efficaces. Même après l’approbation d’un vaccin, son utilisation fait l’objet d’une surveillance pour détecter d’éventuels effets secondaires.</p><p>La plupart des effets secondaires des vaccins sont mineurs et temporaires, comme une douleur au bras ou une légère fièvre, et les bébés ne sont pas plus susceptibles de ressentir des effets secondaires que les enfants plus âgés. Comme de nombreuses maladies infectieuses sont plus fréquentes chez les bébés et les jeunes enfants, le fait de retarder la vaccination les expose davantage aux maladies et à leurs complications.</p><p>La plupart des vaccins ne contiennent pas de bactéries ou de virus vivants et ne peuvent pas provoquer d’infections. Les vaccins vivants comprennent des bactéries ou des virus affaiblis qui ne peuvent pas provoquer de maladie chez les personnes en bonne santé. Les vaccins vivants affaiblis peuvent très rarement provoquer une forme légère d’infection qui n’est pas nocive.</p><p>Il est recommandé que votre bébé commence à recevoir ses vaccins dès l’âge de 2 mois. Cela permettra de protéger votre bébé le plus tôt possible contre des maladies telles que la coqueluche.</p><p>Il n’est pas préférable de laisser votre enfant tomber malade et acquérir une immunité naturelle plutôt que de le faire vacciner. Une infection naturelle s’accompagne de risques de complications graves liées à cette infection. Grâce aux vaccins, le système immunitaire est stimulé pour développer une protection contre une infection future sans rendre votre enfant malade.</p><h3>Vaccins et autisme</h3><p>Tous les vaccins systématiques pour enfants au Canada utilisent des flacons à dose unique et ne contiennent pas d’agents de conservation tels que le thimérosal, à l’exception des flacons multidoses de vaccin contre la grippe. Les agents de conservation tels que le thimérosal sont utilisés dans les flacons multidoses pour prévenir la contamination microbienne.</p><p>Les vaccins (y compris le vaccin ROR) ne provoquent pas l’autisme. Aucune preuve scientifique ne porte à croire que les vaccins causent l’autisme, mais il existe de nombreuses preuves scientifiques qui montrent que les vaccins ne provoquent pas l’autisme. Par exemple, une étude publiée en mars 2019 a suivi 650 943 enfants et, là encore, n’a trouvé aucun lien entre le vaccin ROR et l’autisme. L’étude a pris en compte de nombreux sous-groupes d’enfants potentiellement sensibles et a constaté que le vaccin ROR ne provoquait pas l’autisme ni ne déclenchait l’autisme chez les enfants sensibles.</p><p>Les signes d’autisme apparaissent parfois vers l’âge où les enfants reçoivent le vaccin ROR, et certaines personnes pensaient qu’il y avait un lien entre les deux. L’augmentation du nombre de diagnostics d’autisme chez les enfants s’explique notamment par l’inclusion des enfants qui présentent des symptômes plus légers dans le diagnostic. La sensibilisation à l’autisme s’est également accrue, de sorte que les parents sont plus nombreux à demander de l’aide.</p><h2>Obtenir un vaccin</h2><p>Se faire vacciner peut être douloureux et stressant pour vous et votre enfant. Vous pouvez prendre certaines mesures pour réduire la douleur de la vaccination chez votre <a href="https://www.aboutkidshealth.ca/Article?contentid=989&language=English">bébé</a> ou votre <a href="https://www.aboutkidshealth.ca/Article?contentid=990&language=English">enfant</a>, comme l’utilisation de crèmes anesthésiantes, la prise de positions confortables et les techniques de distraction.</p><p>La plupart des vaccins sont administrés à l’aide d’une seringue. Ces seringues sont des seringues à usage unique et ne sont pas réutilisées. Cela élimine tout risque de transmission d’infections par les aiguilles. Certains vaccins sont administrés selon d’autres méthodes qui éliminent également le risque d’infection. Le vaccin contre le rotavirus est administré sous forme liquide par voie orale, et le vaccin antigrippal peut être administré à l’aide d’un vaporisateur nasal.</p><p>De nombreux vaccins sont administrés en association, ce qui permet de protéger votre enfant contre plusieurs maladies différentes en une seule injection. Par exemple, le vaccin ROR protège contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Le fait de recevoir plus d’un vaccin à la fois signifie également que la protection n’est pas retardée et réduit le nombre de rendez-vous médicaux et d’aiguilles pour votre enfant.</p><p>Le système immunitaire de votre enfant est capable de répondre à plusieurs vaccins administrés en même temps. Le système immunitaire produit des anticorps qui répondent aux antigènes (substances qui ressemblent à certaines parties des bactéries ou des virus). On estime que les enfants sont exposés à des milliers d’antigènes chaque jour dès leur naissance. Au cours de ses deux premières années de vie, si un enfant reçoit tous les vaccins recommandés, il ne sera exposé qu’à environ 320 antigènes supplémentaires par la vaccination. Le fait de recevoir plusieurs vaccins en même temps qui contiennent une poignée d’antigènes est sans danger pour votre enfant et son système immunitaire.</p><p>Pour obtenir de plus amples renseignements sur les calendriers de vaccination de votre enfant, consultez le site :</p><ul><li> <a href="https://www.aboutkidshealth.ca/Article?contentid=1986&language=English">Calendrier de vaccination</a> – diverses immunisations recommandées durant la première année de vie d’un enfant et par la suite.</li><li> <a href="https://www.aboutkidshealth.ca/Article?contentid=1985&language=English">Immunisation de rattrapage des enfants qui n’ont pas été pleinement immunisés</a>.</li></ul><h2>Références</h2><p>Soins de nos enfants. (Novembre 2016). <em>La sécurité des vaccins : Le système canadien</em>. <a href="https://www.soinsdenosenfants.cps.ca/handouts/vaccine_safety">https://www.soinsdenosenfants.cps.ca/handouts/vaccine_safety</a></p><p>Soins de nos enfants. (Novembre 2016). <em>Les vaccins : des inquiétudes courantes</em>. Consulté à l’adresse <a href="https://www.soinsdenosenfants.cps.ca/handouts/vaccines-common-concerns">https://www.soinsdenosenfants.cps.ca/handouts/vaccines-common-concerns</a></p><p>Soins de nos enfants. (Novembre 2016). <em>Les vaccins : les mythes et les faits</em>. Consulté à l’adresse <a href="https://www.soinsdenosenfants.cps.ca/handouts/vaccines-myths-and-facts">https://www.soinsdenosenfants.cps.ca/handouts/vaccines-myths-and-facts</a></p><p>Centers for Disease Control and Prevention. (2015). Measles. Dans Hamborsky, J., Kroger, A., Wolfe, S. (rédacteurs), <em>Epidemiology and Prevention of Vaccine-Preventable Diseases, 13th ed.</em> (pp. 209-30). Washington D.C. Public Health Foundation. Consulté à l’adresse <a href="https://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pinkbook/meas.html">https://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pinkbook/meas.html</a></p><p>Centers for Disease Control and Prevention. (2018). <em>Multiple Vaccines and the Immune System</em>. Consulté à l’adresse <a href="https://www.cdc.gov/vaccinesafety/concerns/multiple-vaccines-immunity.html">https://www.cdc.gov/vaccinesafety/concerns/multiple-vaccines-immunity.html</a></p><p>EKOS Research Associates. (2018). <em>Sondage pour l’élaboration de la campagne de vaccination des enfants –Rapport des constatations préparé pour Santé Canada</em>. Consulté à l’adresse <a href="http://epe.lac-bac.gc.ca/100/200/301/pwgsc-tpsgc/por-ef/health/2018/022-17-f/rapport.pdf">http://epe.lac-bac.gc.ca/100/200/301/pwgsc-tpsgc/por-ef/health/2018/022-17-f/rapport.pdf</a></p><p>Hviid, A., Hansen, J.V., Frisch, M., Melbye, M. (2019). Measles, Mumps, Rubella Vaccination and Autism: A Nationwide Cohort Study. <em>Annals of Internal Medicine</em>, 170, 513–520. doi: <a href="https://annals.org/aim/fullarticle/2727726/measles-mumps-rubella-vaccination-autism-nationwide-cohort-study">10.7326/M18-2101</a></p><p>Agence de la santé publique du Canada. (1er septembre 2016). <em>Guide canadien d’immunisation : Partie 1 – Information clé sur l’immunisation</em>. Consulté à l’adresse <a href="https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/publications/vie-saine/guide-canadien-immunisation-partie-1-information-cle-immunisation.html">https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/publications/vie-saine/guide-canadien-immunisation-partie-1-information-cle-immunisation.html</a></p><p>Agence de la santé publique du Canada (18 octobre 2018). <em>Vaccination des enfants : Choisir de faire vacciner son enfant</em>. Consulté à l’adresse <a href="https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/vaccinations-pour-enfants.html">https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/vaccinations-pour-enfants.html</a></p><p>Santé publique Ontario (Mai 2019). <em>Rapport sur la couverture vaccinale des élèves des écoles de l’Ontario : année scolaire 2017-2018</em>. Consulté à l’adresse (en anglais seulement) <a href="https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/immunization-coverage-2017-18.pdf">https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/immunization-coverage-2017-18.pdf</a></p><p>Statistique Canada. (2019). <em>Enquête sur la couverture vaccinale nationale des enfants, 2017</em>. Consulté à l’adresse <a href="https://www150.statcan.gc.ca/n1/daily-quotidien/190326/dq190326d-fra.htm">https://www150.statcan.gc.ca/n1/daily-quotidien/190326/dq190326d-fra.htm</a></p><p>Organisation mondiale de la Santé. (2019). <em>Dix ennemis que l’OMS devra affronter cette année</em>. Consulté à l’adresse <a href="https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/ten-threats-to-global-health-in-2019">https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/ten-threats-to-global-health-in-2019</a></p>https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/Vaccines-Concerns_about_immunizing_your_child.jpgPréoccupations concernant la vaccination Lisez au sujet de l’innocuité des vaccins, leurs effets secondaires et les maladies contre lesquelles les vaccins protègent votre enfant.Main
Gastroentérite viraleGastroentérite viraleViral gastroenteritis (stomach flu)GFrenchInfectious DiseasesChild (0-12 years);Teen (13-18 years)Stomach;Small Intestine;Large Intestine/ColonImmune systemConditions and diseasesCaregivers Adult (19+)Abdominal pain;Diarrhea;Fever;Headache;Vomiting2019-03-12T04:00:00ZHealth (A-Z) - ConditionsHealth A-Z<p>La gastroentérite virale, souvent appelée « grippe intestinale » est une infection qui cause l’inflammation de l’estomac et des intestins. Apprenez quels sont les symptômes et le traitement de la gastroentérite virale.</p><h2>Qu'est-ce que la gastroentérite virale?</h2><p>La gastroentérite est une inflammation de l'estomac, de l'intestin grêle et du gros intestin. Le terme « viral » signifie que l'inflammation est causée par un virus. Elle provoque souvent des <a href="/Article?contentid=746&language=French">vomissements</a> ou la <a href="/Article?contentid=7&language=French">diarrhée</a>. </p><p>La gastroentérite virale est souvent appelée « grippe intestinale », mais elle n'est pas causée par le virus de la grippe. La maladie peut être causée par différents groupes de virus, comme les rotavirus, les torovirus, les adénoviruses, les calicivirus, les astrovirus et un groupe de virus apparentés au virus de Norwalk.</p><h3>La gastroentérite virale n'est PAS causée par l'un ou l'autre des facteurs suivants, bien que les symptômes puissent se ressembler :</h3><ul><li>des bactéries comme la salmonelle ou E. coli;</li><li>des parasites comme le Giardia;</li><li>des médicaments;</li><li>d'autres problèmes de santé.</li></ul><h2>À retenir</h2> <ul> <li>La gastroentérite virale est une infection de l'estomac et des intestins causée par un virus.</li> <li>Les principaux symptômes comprennent la diarrhée et les vomissements.<br></li> <li>La diarrhée et les vomissements peuvent causer une perte de liquides, aussi appelée déshydratation.</li> <li>Les patients souffrant d'une grave déshydratation peuvent se voir administrer des liquides par voie intraveineuse (IV) à l'hôpital.</li> <li>La gastroentérite virale peut se propager par le partage de nourriture, d'eau et d'ustensiles. Le fréquent lavage de mains peut aider à prévenir la propagation de l'infections.</li> <li>En règle générale, la gastroentérite virale n'est pas une maladie grave, mais les personnes dont le système immunitaire est affaibli sont à risque de contracter une infection plus grave.</li> </ul><h2>Quels sont les principaux symptômes de la gastroentérite virale?<br></h2><p>La diarrhée et les vomissements sont les principaux symptômes de la gastroentérite virale.</p><p>En plus de la diarrhée et des vomissements, un enfant atteint de gastroentérite virale peut aussi présenter :</p><ul><li>de la <a href="/Article?contentid=30&language=French">fièvre</a>;</li><li>des crampes ou des douleurs à l’estomac;</li><li>des <a href="/Article?contentid=29&language=French">maux de tête</a>;</li><li>un mal de gorge;</li><li>un ralentissement de ses activités;</li><li>de la somnolence;</li><li>une perte d’appétit.</li></ul><p>En général, les symptômes se manifestent un ou deux jours après que la personne a contracté le virus et peuvent perdurer de un à dix jours.</p><h2>La gastroentérite virale est contagieuse</h2><h3>La gastroentérite se propage par l'un des moyens suivants :</h3><ul><li>le partage d'aliments, d'eau ou d'ustensiles comme des fourchettes et des couteaux avec une personne atteinte du virus;</li><li>l'omission de se laver les mains après avoir touché des objets qui peuvent porter le virus;</li><li>l'omission de se laver les mains après avoir changé des couches ou aidé un enfant à aller aux toilettes.</li></ul><p>Il est important de bien nettoyer et de désinfecter les surfaces et les articles à la portée de votre enfant, y compris ses jouets, et de faire soigneusement la lessive afin d’éliminer le virus de votre foyer.</p><h2>Tout le monde peut contracter la gastroentérite virale</h2><p>Tout le monde, peu importe son âge ou son origine, peut contracter le virus de la gastroentérite virale. Cependant, les virus contractés peuvent varier selon l’âge :</p><ul><li>les bébés et les tout-petits ont tendance à contracter plus souvent les rotavirus et les torovirus;</li><li>les adénovirus et les astrovirus ont tendance à surtout provoquer la diarrhée chez les jeunes enfants;</li><li>les virus de type Norwalk ont tendance à provoquer de la diarrhée chez les enfants plus âgés et chez les adultes.</li></ul><h2>Traiter la gastroentérite virale</h2><p>Le plus important pour traiter la gastroentérite virale chez les enfants et les adultes est de prévenir la <a href="/Article?contentid=776&language=French">déshydratation</a>, qui correspond à une perte importante de liquides.<br></p><h3>Les symptômes de déshydratation comprennent :<br></h3><ul><li>des lèvres sèches et craquelées ainsi qu’une bouche sèche ou poisseuse;</li><li>la soif;</li><li>un faible débit d'urine ou l'absence d'urine (l'urine est concentrée et jaune foncé);</li><li>l'absence de larmes;</li><li>de l'irritabilité ou de la mauvaise humeur;</li><li>de l'ennui ou désintéressement apparents;</li><li>des maux de tête;</li><li>des étourdissements;</li><li>des crampes;</li><li>des frissons;</li><li>de la fatigue.</li></ul><h3>La déshydratation avancée peut causer :</h3><ul><li>l'enfoncement des yeux;</li><li>l'enfoncement de la fontanelle, la région molle sur le dessus de la tête d'un bébé;</li><li>des nausées ou des vomissements;</li><li>de l'irritabilité;</li><li>de la léthargie.</li></ul><p>Si votre enfant est très déshydraté, il pourrait devoir être traité à l'hôpital, où l'on administre des liquides par un cathéter intraveineux (IV) au besoin.</p><h2>La gastroentérite virale est rarement une maladie grave</h2><p>Pour la plupart des gens, la gastroentérite virale n'est pas une maladie grave. Les gens atteints se rétablissent presque toujours complètement sans présenter de séquelles à long terme. La rapidité du rétablissement de votre enfant dépend du virus qui a causé la maladie.</p><p>La gastroentérite virale peut être une maladie grave chez les personnes qui ne sont pas en mesure de boire suffisamment pour remplacer les fluides corporels perdus par les vomissements ou la diarrhée. Les bébés, les jeunes enfants et les personnes non autonomes, comme les personnes présentant une déficience ou les personnes âgées, sont à risque de se déshydrater après une perte importante de fluides corporels. </p><p>Les personnes dont le système immunitaire est compromis sont à risque de déshydratation parce qu'elles peuvent éprouver des symptômes plus graves, dont de la diarrhée et des vomissements importants. Ces personnes pourraient devoir demeurer à l'hôpital afin de remédier à la déshydratation ou la prévenir.</p><h2>Vous pouvez prévenir la gastroentérite virale en vous lavant bien les mains<br></h2> <h3>Afin d'éviter de contracter ou de propager la gastroentérite virale, vous devez faire ce qui suit :</h3> <ul> <li>Bien vous laver les mains et de le faire souvent, tout particulièrement dans les hôpitaux et les autres établissements de santé.</li> <li>Ne pas rendre visite à un patient hospitalisé si vous souffrez des symptômes de gastroentérite virale. Suggérez aux membres de votre famille et à vos amis de faire de même.</li> </ul><h2>Si votre enfant est hospitalisé, contribuez à freiner la propagation de la gastroentérite virale</h2><ul><li>Il se peut que votre enfant soit placé dans une chambre individuelle et qu’il ne soit pas autorisé à fréquenter la salle de jeux jusqu’à ce qu’il se sente mieux.</li><li>Lavez-vous souvent les mains avant et après tout contact avec votre enfant. Lavez-vous également les mains avant de quitter sa chambre. Les employés de l’hôpital devraient également suivre ces consignes.</li><li>Si vous ou une autre personne présentez des symptômes de la gastroentérite virale après une visite, faites-en part au médecin ou à l’infirmière.</li><li>Si votre enfant présente des symptômes de la gastroentérite virale pendant son séjour à l’hôpital, tout le personnel responsable de ses soins devrait porter des gants et une blouse d’hôpital.<br></li></ul>stomachfluhttps://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/viral_gastroenteritis_flu.jpg Apprenez-en davantage sur la gastroentérite virale, une infection virale qui cause l’inflammation de l’estomac et des intestins.Main

 

 

Maladie cœliaque : Conseils pour maintenir un régime alimentaire sans glutenMaladie cœliaque : Conseils pour maintenir un régime alimentaire sans glutenCeliac disease: Tips to maintain the gluten-free dietMFrenchGastrointestinalBaby (1-12 months);Toddler (13-24 months);Preschooler (2-4 years);School age child (5-8 years);Pre-teen (9-12 years);Teen (13-18 years)Small IntestineSmall intestineNon-drug treatmentCaregivers Adult (19+)NA2017-02-06T05:00:00Z8.0000000000000060.00000000000001433.00000000000Health (A-Z) - ProcedureHealth A-Z<p>Cet article fournit des conseils pour aider votre enfant à maintenir son régime alimentaire spécial.</p><h2>Qu’est-ce que la maladie cœliaque?</h2><p>La <a href="/Article?contentid=816&language=French">maladie cœliaque</a> est une maladie auto-immune dans laquelle tout contact avec le gluten, un groupe de protéines alimentaires, déclenche une réaction du système immunitaire, le système de défense de l’organisme. Cette réponse immunitaire au gluten, peu importe où le contact se produit dans le corps, endommage les parois internes de l’intestin grêle. L’absorption des nutriments devient alors plus difficile.</p><p>Les symptômes courants de la maladie cœliaque sont la diarrhée, la constipation, les maux de tête, la fatigue et l’anémie. Certaines personnes ne présentent aucun symptôme.</p><p>La maladie cœliaque est un trouble chronique (à vie). Il n’existe pas de médicament permettant de soigner la maladie cœliaque. Le seul traitement est un régime alimentaire strictement sans gluten à vie. Un tel régime facilitera la guérison de l’intestin, diminuera les symptômes existants, le cas échéant, et maintiendra votre enfant en bonne santé.<br></p><figure class="asset-small"><img src="https://assets.aboutkidshealth.ca/akhassets/gluten_free_symbol_FR.jpg" alt="Symbole qui apparaîtra sur les produits sans gluten" /> </figure> <h2>En quoi consiste un régime sans gluten?</h2><p>Un <a href="/Article?contentid=956&language=French">régime strictement sans gluten</a> signifie une alimentation sans traces de gluten. Le gluten est présent naturellement dans toutes les formes d’aliments suivantes :</p><ul><li>blé;</li><li>seigle;</li><li>orge;</li><li>triticale (une hybridation entre le blé et le seigle).</li></ul><p>Les produits à base de blé comme le pain, les pâtes et les produits de boulangerie sont des sources évidentes de gluten. Il existe aussi de nombreux aliments dont le gluten est dissimulé comme les soupes, les sauces pour salade et la crème glacée.</p><p>Lisez toujours l’étiquette de tous les aliments et produits non alimentaires (comme les médicaments) pour voir s’ils contiennent des sources de gluten.</p><h2>À retenir</h2><ul><li>La maladie cœliaque est une maladie auto-immune dans laquelle tout contact avec le gluten, un groupe de protéines alimentaires, déclenche une réaction du système immunitaire, le système de défense de l’organisme.</li><li>On trouve du gluten dans le seigle, l’orge, le triticale et toutes les formes de blé.</li><li>Le seul traitement de la maladie cœliaque est un régime alimentaire strictement sans gluten à vie. Un tel régime facilitera la guérison de l’intestin, diminuera les symptômes existants, le cas échéant, et maintiendra votre enfant en bonne santé.</li><li>Afin de maintenir un régime sans gluten, vous devez éviter toute source de contamination croisée à la maison et à l’extérieur (p. ex., lorsque le gluten est transmis d’un aliment ou d’un objet à un aliment ou à un objet sans gluten).</li><li>Lorsque vous mangez à l’extérieur, assurez-vous que tous comprennent que le régime sans gluten de votre enfant est le seul traitement médical pour la maladie cœliaque.<br></li></ul><h2>Crédit d’impôt</h2><p>Les prix payés pour l’achat de produits sans gluten pour une personne atteinte de la maladie cœliaque sont considérés comme des frais médicaux. Ils sont admissibles dans votre déclaration de revenus auprès de l’<a href="http://www.cra-arc.gc.ca/menu-fra.html">Agence du revenu du Canada</a>. On vous demandera de fournir les documents suivants :</p><ul><li>une lettre d’un fournisseur de soins de santé attestant que la personne a besoin de produits sans gluten en raison de la maladie cœliaque;</li><li>un résumé de chaque produit acheté au cours des 12 mois pendant lesquels les frais sont réclamés;</li><li>un reçu à l’appui du coût de chaque produit sans gluten que vous réclamez.</li></ul><p>Pour plus de renseignements, visitez le site Web de l’<a href="http://www.cra-arc.gc.ca/menu-fra.html">Agence du revenu du Canada</a>. <br></p><h2>Comment prévenir le risque de contamination croisée</h2><p>Une contamination croisée se produit lorsque le gluten se transmet involontairement d’un aliment ou d’un objet vers un autre aliment ou un autre objet. Il est important d’éviter toute source de contamination croisée.</p><h3>À la maison<br></h3><p>Lavage :</p><ul><li> <a href="/Article?contentid=1981&language=French">Lavez-vous les mains</a> entre chaque manipulation d’aliments contenant du gluten et de ceux qui en sont exempts.</li><li>Lavez-vous les mains et lavez les jouets s’ils ont été contaminés par du gluten.</li><li>Lavez les comptoirs soigneusement avant de préparer un repas sans gluten.</li><li>Nettoyez l’ensemble des chaudrons, casseroles, ustensiles de cuisine et comptoirs avec du savon chaque fois que vous les utilisez.</li></ul><p>Dans la cuisine :</p><ul><li>Gardez séparément les aliments sans gluten de ceux qui en contiennent. </li><li>Utilisez un grille-pain, un grill, une passoire et une planche à découper distincts pour tous les produits sans gluten. Si vous utilisez votre grill pour la cuisson d’aliments qui contiennent du gluten, enveloppez le produit sans gluten dans du papier d’aluminium.</li><li>Utilisez des ustensiles de cuisson et des planches à découper en plastique ou en métal au lieu du bois puisque le gluten adhère au bois.</li><li>Utilisez des condiments offerts en flacons pressables ou en contenants distincts de ceux utilisés avec des produits sans gluten (p. ex., beurrier ou plat de margarine).</li></ul><p>Évitez les aliments potentiellement contaminés par du gluten :</p><ul><li>N’achetez pas d’aliments qui n’affichent pas d’étiquette nutritionnelle ni d’information sur les allergies.</li><li>Ne consommez pas d’aliments sans gluten présentés sur le même plateau que ceux qui en contiennent (p. ex., plateaux de fruits, de fromage et de craquelins contenant du gluten).</li></ul><h3>À l’extérieur</h3><p>Vous n’avez aucun contrôle sur votre environnement lorsque vous et votre famille sortez de la maison. Gardez à l’esprit ce qui suit :</p><ul><li>Les jouets et les surfaces de jeu à la garderie, à l’école ou chez des amis peuvent être contaminés par du gluten. Évitez tout contact avec ces surfaces ou d’y poser les aliments de votre enfant.</li><li>N’achetez pas d’aliments présentés dans des récipients de stockage en vrac. Ces aliments peuvent être contaminés par les écopes utilisées dans plusieurs récipients. Vous n’avez aucune assurance que les autres clients sont aussi prudents que vous.</li><li>N’achetez pas d’aliments dans les magasins où il n’y a aucune étiquette nutritionnelle ni information sur les allergies. C’est parfois le cas pour les aliments importés d’autres pays.</li><li>En cas de doute, communiquez avec l’entreprise alimentaire pour vous renseigner sur le processus de transformation et sur la contamination par le gluten.</li><li>Choisissez les charcuteries emballées. Au comptoir des charcuteries, les viandes sans gluten sont découpées avec la même trancheuse sans nettoyage entre les utilisations. Il s’agit d’une autre source de contamination.</li><li>Évitez les buffets puisque les aliments présentés peuvent être contaminés par du gluten lorsque les clients utilisent les mêmes ustensiles de service d’un plat à l’autre.</li><li>Évitez les frites et d’autres aliments sans gluten s’ils ont été cuits dans de l’huile contaminée par du gluten, par exemple, lorsque les aliments ont été frits ou assaisonnés dans la même friteuse.</li><li>La viande peut devenir contaminée si elle est cuite sur un gril en compagnie d’autres aliments contenant du gluten.</li></ul><h3>À l’école</h3><ul><li>Informez les responsables de la nécessité pour votre enfant de suivre un régime strictement sans gluten.</li><li>Renseignez-vous sur les possibilités de menu sans gluten. Il est important de vérifier directement auprès du fournisseur alimentaire des sources potentielles de contamination.</li><li>Assurez-vous que votre enfant comprenne pourquoi il ne doit pas échanger des aliments avec d’autres élèves.</li></ul><h2>Conseils pour consommer des aliments à l’extérieur</h2><h3>Avant d’aller manger au restaurant</h3><p>Appelez l’établissement au préalable. Expliquez que le régime sans gluten de votre enfant est un traitement médical pour la maladie cœliaque et non pas une intolérance ou une sensibilité au gluten.</p><p>Consultez le menu, la liste des ingrédients et les avertissements relatifs aux allergies sur le site Web du restaurant.</p><p>Choisissez un restaurant où la communication s’annonce facile et où les spécificités du régime strictement sans gluten de votre enfant seront bien comprises. Par exemple, assurez-vous que la langue ne soit pas un obstacle à la communication.</p><p>Si vous n’avez pas le temps d’appeler le restaurant au préalable, informez le serveur et le chef dès votre arrivée que votre enfant suit un régime strictement sans gluten. Essayez de choisir les heures moins achalandées du restaurant. Le personnel aura alors plus de temps et de ressources à consacrer aux spécificités d’un régime strictement sans gluten.</p><p>Apportez votre pain, vos craquelins et vos condiments préférés sans gluten, y compris votre sauce pour salade.</p><h3>Au restaurant</h3><p>Souvenez-vous de toujours vous renseigner sur la contamination croisée. Vous pourriez devoir expliquer ce en quoi elle consiste. Vous pourriez dire, par exemple, « une contamination croisée se produit lorsque le gluten d’un aliment ou d’un objet entre en contact avec un autre aliment ou un autre objet. » Demandez à ce que les aliments soient préparés sur des surfaces propres au moyen d’ustensiles et de gants propres.</p><p>Évitez tout ce qui consiste en des assaisonnements, des sauces (p. ex., la sauce de soja), des croûtons, des soupes et d’autres sauces. Soyez précis lors de la commande. Vous pourriez dire, par exemple, « je ne veux pas de sauce dans mon assiette ».</p><p>Demandez quels aliments sont frits dans la même huile ou la même friteuse. Vous pouvez aussi expliquer que les frites, le tofu, les nachos et les ailes cuits dans la même huile que les pépites ou les rondelles d’oignon (qui sont des sources de gluten) seront contaminés et dangereux pour votre enfant.</p><p>Demandez à consulter la liste d’information nutritionnelle ou d’information sur les allergies du restaurant.</p><p>Évitez les buffets.</p><h2>Conseils pour communiquer avec les entreprises alimentaires</h2><h3>Repérage des coordonnées</h3><p>Si vous ignorez si un aliment ou un ingrédient d’un produit non alimentaire est sans danger, appelez l’entreprise. Repérez et notez ou photographiez les coordonnées de l’entreprise sur l’emballage. Au Canada, il s’agit généralement d’un numéro sans frais.</p><p>Si vous ne trouvez pas le numéro de téléphone de l’entreprise, notez son nom. Vous pourrez faire une recherche dans un annuaire ou sur Internet.</p><p>Notez le nom du produit et la série de chiffres figurant sous le code à barres CUP.</p><h3>Ce qu’il faut demander</h3><p>Appelez l’entreprise alimentaire et demandez à parler au service à la clientèle. N’hésitez pas à poser des questions sur le produit, en demandant par exemple, « ce produit est-il sans gluten? » ou « est-ce que le produit contient de l’avoine, de l’orge, du blé, du seigle, du triticale ou tout composant de ces ingrédients? »</p><p>Si l’entreprise est incapable de confirmer que le produit est sans gluten, il ne faut alors pas consommer ni utiliser ce produit. Gardez à l’esprit que les listes d’ingrédients peuvent changer et que vous devrez peut-être mettre à jour ces renseignements plus tard.</p><p>Certaines entreprises alimentaires détiennent une liste des produits qui sont considérés comme « sans gluten ». L’entreprise peut vous faire parvenir cette liste sur demande. D’autres entreprises affichent des renseignements sur les produits sans gluten sur leur site Web. Assurez-vous que ces renseignements ont été récemment mis à jour (au cours de la dernière année).</p>https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/Nutrition_and_JIA.jpgMaintenir un régime alimentaire sans gluten Cet article fournit des conseils pour aider votre enfant atteint de la maladie cœliaque à maintenir son régime alimentaire spécial. Main
Le diabète et les vacancesLe diabète et les vacancesDiabetes and vacationsLFrenchEndocrinologyChild (0-12 years);Teen (13-18 years)PancreasEndocrine systemHealthy living and preventionAdult (19+)NA2017-09-25T04:00:00Z000Flat ContentHealth A-Z<p>En savoir plus sur la gestion du diabète de votre enfant lorsqu’il est en vacances ou au camp de vacances.<br></p><p>Le <a href="/Article?contentid=1717&language=French">diabète</a> de votre enfant ne doit pas vous décourager de voyager, même à l’étranger. Une planification soignée vous garantira des vacances sans danger et agréables. Voici quelques conseils :</p><h2>À retenir<br></h2><ul><li>Veillez à avoir en main toutes les fournitures nécessaires pour gérer le diabète de votre enfant lorsque vous êtes en vacances. Soyez prêt à faire face à une situation urgente. </li><li>Si vous n’accompagnez pas votre enfant, assurez-vous qu’il puisse se prendre en charge. S’il est jeune, informez un parent ou un moniteur du camp de son état de santé et assurez-vous qu’il sait comment gérer la situation. </li></ul><ul><li>Prenez suffisamment d’<a href="/Article?contentid=1728&language=French">insuline</a> et de matériel pour la totalité du voyage, en emportant quelques fournitures de rechange. Conservez ces fournitures supplémentaires séparément du matériel principal, si vous veniez à perdre un de vos sacs ou à vous le faire voler.</li><ul><li>Assurez-vous de protéger votre insuline contre les températures extrêmement élevées ou basses pour éviter sa détérioration. Les flacons d’insuline ouverts peuvent être <a href="/Article?contentid=1730&language=French">conservés en toute sécurité</a> dans un réfrigérateur ou à température ambiante pendant une période pouvant aller jusqu’à un mois.</li></ul><li>Si vous prenez l’avion, veillez à ce que toutes vos fournitures se trouvent dans votre bagage de cabine. Pour les voyages internationaux, il pourrait être utile d’apporter une lettre de permission de votre médecin expliquant le matériel que votre enfant doit avoir.</li><li>Où que vous alliez, emportez toujours de la nourriture, ainsi qu’un bon approvisionnement en <a href="/Article?contentid=1745&language=French">sucre à action rapide</a> pour traiter un « <a href="/Article?contentid=1726&language=French">taux de glucose faible</a> » (hypoglycémie).<br></li><li>Prévoyez de contrôler le taux de glucose (sucre) au moins quatre fois par jour, surtout avant les repas et au coucher. La routine sera différente de celle pratiquée à la maison, et vous devrez savoir quelle est l’incidence sur le taux de glucose de votre enfant afin de pouvoir apporter des <a href="/Article?contentid=1737&language=French">ajustements</a> sûrs à cette routine.</li><li>Pour des vacances actives, vous devrez peut-être réduire l’insuline de votre enfant. Discutez des changements éventuels avec les membres de votre <a href="/Article?contentid=2511&language=French">équipe de soins de santé du diabète</a>.</li><li>Emportez les numéros de téléphone des principaux membres de votre équipe de soins de santé du diabète. </li><li>Assurez-vous que votre enfant porte une certaine forme d’identification du diabète, par exemple un bracelet MedicAlert.</li><li>Préparez-vous aux situations d’urgence. Si votre enfant prend de l’insuline, prenez la <a href="/Article?contentid=1726&language=French">trousse de glucagon</a> avec vous, de façon à pouvoir intervenir en cas de crise hypoglycémique grave, si nécessaire. De même, établissez<a href="/Article?contentid=1750&language=French"> les grandes lignes pour les journées de maladie</a> et emportez des bandelettes de test des <a href="/Article?contentid=1727&language=French">cétones</a>.</li></ul><h3>Changements de fuseau horaire</h3><p>Il n’y a pas de formule magique pour vous aider à déterminer la façon d’adapter la dose d’insuline en cas de changement de fuseau horaire. Chaque situation et chaque individu sont différents. Veillez à bien connaître le <a href="/Article?contentid=1729&language=French">délai d’action des types d’insuline</a> utilisés par votre enfant. Recueillez tous les renseignements que vous pouvez au sujet de votre vol, y compris le changement d’heure et la nourriture disponible (il est recommandé d’emporter des collations supplémentaires). Ensuite, réunissez-vous avec votre équipe de soins de santé du diabète pour mettre un plan sur pied.</p><h3>Assurance voyage</h3><p>Vous devriez vous procurer une assurance voyage avant de partir. Certaines associations de lutte contre le diabète offrent une assurance voyage à leurs membres. Communiquez avec votre succursale la plus proche pour en savoir plus.</p><h2>Prise en charge du diabète pendant une excursion de camping sauvage</h2><p>Votre famille aura peut-être envie de faire une excursion de camping plus longue dans la nature, où vous pourriez être coupé de la civilisation pendant plusieurs jours. Votre adolescent voudra peut-être aller camper avec des amis. Avant de le laisser partir, vous devriez vous assurer qu’il comprend les enjeux liés à un voyage dans des contrées sauvages. Il doit s’engager à faire plus et non moins de tests de glucose pendant son voyage. Vous devriez faire tout votre possible pour vous assurer qu’il existe une certaine méthode de communication avec la « civilisation », si cela est possible.</p><h2>Prise en charge du diabète pendant un camp d’été</h2><p>Pour de nombreux enfants d’âge scolaire et adolescents, non seulement l’été est synonyme de vacances scolaires, mais il représente également l’occasion de jouer et de passer du temps avec leurs amis dans des camps de jour ou des camps résidentiels avec nuitées. Pour les enfants diabétiques, la situation est la même. Avec une planification adéquate, ils peuvent apprécier eux aussi une expérience du camp palpitante, saine et sans danger. </p><h3>Préparation d’un camp de jour</h3><p>La préparation d’un camp de jour est semblable à la préparation d’une sortie en famille ou d’une excursion scolaire d’une journée. Veillez à ce que votre enfant emporte tous ses <a href="/Article?contentid=1742&language=French">repas et collations</a> préparés et emballés. À l’exception des enfants qui reçoivent une <a href="/Article?contentid=1731&language=French">injection</a> d’insuline à l’heure du déjeuner et qui sont capables de se l’administrer eux-mêmes, avec des ajustements mineurs de l’horaire, toutes les injections d’insuline peuvent être données à la maison comme d’habitude. De la même façon, au moins trois tests de glucose quotidiens peuvent être réalisés à la maison, et ces taux peuvent être contrôlés par le soignant habituel. La majorité des enfants doivent réaliser un contrôle avant leur déjeuner au camp.</p><p>Questionnez le personnel du camp sur les niveaux d’activités auxquelles votre enfant peut participer. Informez-les de la maladie de votre enfant, et insistez sur l’importance des heures pour la prise de nourriture. Expliquez les signes et symptômes de l’hypoglycémie chez votre enfant et donnez au conseiller une source de sucre à action rapide pour traiter l’<a href="/Article?contentid=1726&language=French">hypoglycémie</a>. Vous devez en outre expliquer au personnel du camp ce qu’il doit faire en cas d’hypoglycémie sévère. Pour vous assurer que le personnel est bien informé avant l’agitation de la première journée, l’idéal serait de rencontrer un employé avant que le camp commence, comme vous rencontreriez les enseignants.</p><h3>Les camps avec nuitées sont-ils sécuritaires pour les enfants diabétiques?</h3><p>Les camps avec nuitées sont absolument sécuritaires. De nombreuses associations de lutte contre le diabète ont créé des camps spécialisés pour les enfants diabétiques afin de leur offrir une expérience de camping agréable et sans danger et pour assurer le respect des principes des soins quotidiens du diabète.</p><p>Dans la mesure du possible, les enfants et les adolescents diabétiques doivent avoir l’occasion de participer à ces camps. Le personnel de ce camp se compose habituellement de médecins et d’infirmières expérimentés en soins destinés aux enfants diabétiques. De plus, un diététiste spécialisé est là pour aider les enfants pour la <a href="/Article?contentid=1741&language=French">planification des repas​</a>. Le personnel chargé des programmes est habitué à travailler avec des campeurs diabétiques et à concevoir des programmes qui correspondent aux périodes de la routine de soins quotidiens du diabète.</p><p>Ces camps donnent aux enfants l’occasion de passer plusieurs jours ou semaines avec d’autres campeurs qui sont également diabétiques. Certains enfants apprennent à s’auto-administrer leurs injections pour la première fois sous la direction de l’infirmière du camp et avec les encouragements de leurs amis du camp. Pour d’autres, tout particulièrement pour les enfants habitant un village, cela peut être la première fois où ils ne sont pas le seul enfant diabétique.</p><p>Les enfants ne sont pas les seuls à profiter du camp. De nombreux soignants trouvent réconfortant le fait de savoir que leur enfant suit sa routine de soins du diabète et que les enfants sont aux bons soins d’un personnel compétent qui connaît bien la maladie. Ils se sentent rassurés de savoir que les contrôles de la glycémie seront effectués pendant la journée et la nuit si nécessaire et que des collations supplémentaires seront fournies au besoin. Avec un système de soutien aussi solide, les enfants peuvent profiter à fond de toutes les expériences du camp, à savoir nager, faire du bateau, randonner, faire des bricolages et faire du théâtre, sans se préoccuper tout seuls de la prise en charge des soins du diabète.</p><p>Certains enfants et la plupart des adolescents préfèrent participer à des camps qui ne visent pas spécifiquement les diabétiques. Si votre enfant ou votre adolescent possède suffisamment de connaissances, qu’il a le sens des responsabilités et qu’il est disposé à contrôler sa maladie, ce souhait peut être exaucé également avec une planification adéquate.</p><p>Souvenez-vous que la plupart des enfants qui participent à un camp sont plus actifs que d’habitude et qu’ils ont moins accès à de la nourriture entre les repas. Par conséquent, ils peuvent nécessiter une dose d’insuline plus faible ou différente pour éviter les épisodes hypoglycémiques. Un contrôle du glucose sera nécessaire plus fréquemment pour déterminer l’exigence réelle en matière d’insuline. Dans la mesure du possible, choisissez un camp avec un médecin et une infirmière à plein temps sur place qui peuvent apporter leur aide dans la prise en charge de la routine de soins du diabète et de toute maladie qui pourrait survenir.</p>https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/diabetes_and_vacations.jpg En prévision du congé de mars, apprenez plus sur la gestion du diabète de votre enfant lorsqu’il est en vacances ou au camp de vacances.Main
Éducation sexuelle: ce que les enfants doivent savoir et à quel momentÉducation sexuelle: ce que les enfants doivent savoir et à quel momentSexuality: What children should learn and whenÉFrenchAdolescentToddler (13-24 months);Preschooler (2-4 years);School age child (5-8 years);Pre-teen (9-12 years);Teen (13-18 years)NANAHealthy living and preventionCaregivers Adult (19+)NA2019-06-06T04:00:00ZFlat ContentHealth A-Z<p>Lorsque vous abordez le sujet de la sexualité et de la reproduction avec votre enfant, assurez-vous qu’il comprend ce que vous dites. Ce guide présente ce que les enfants sont en mesure de comprendre à différents stades.</p><p>La meilleure stratégie en matière d’éducation sexuelle consiste à amorcer une conversation au sujet de la sexualité dès le plus jeune âge de l’enfant et à poursuivre cette conversation tout au long de sa croissance. Cela permet aux parents d’éviter d’avoir une grande discussion lorsque l’enfant atteint l’adolescence, lorsqu’il pense peut-être déjà tout savoir à ce sujet et qu’il ne sera peut-être pas réceptif. Lorsque vous parlez de sexe à vos enfants, il est important d’expliquer les choses d’une façon compréhensible pour eux, selon leur âge et leur niveau de développement.</p><h2>À retenir</h2><ul><li>Lorsque vous parlez de sexualité à vos enfants, assurez-vous d’expliquer les choses d’une façon adaptée à son niveau de développement.</li><li>Vous n’avez pas à tout expliquer en même temps. Les enfants plus jeunes ont tendance à s’intéresser davantage à la grossesse et aux bébés qu’à l’acte sexuel.</li></ul><p>Chaque enfant est différent, mais voici les grandes lignes de la compréhension des enfants concernant la sexualité et la reproduction à différents stades.</p><h2>Tout-petits : de 13 à 24 mois</h2><p>Les tout-petits devraient pouvoir nommer toutes les parties du corps, y compris les parties génitales. En utilisant les noms exacts des parties du corps, ils seront à même de mieux communiquer un problème de santé, une blessure ou des sévices sexuels. Cela leur permet également de comprendre que ces parties sont aussi normales que les autres, ce qui leur donnera confiance en eux et leur procurera une image positive de leur corps.</p><p>La plupart des enfants de deux ans connaissent la différence entre un homme et une femme, et habituellement, ils peuvent déterminer si une personne est de sexe masculin ou féminin. Ils devraient comprendre que l’identité sexuelle d’une personne n’est pas déterminée par ses parties génitales et que le genre peut être exprimé de différentes manières. Les aidants naturels peuvent contribuer à cette démarche en n’associant pas la biologie sexuelle au genre (p. ex., dire « les personnes qui ont un pénis » ou « les personnes qui ont un vagin »).</p><p>Les tout-petits devraient savoir que leur corps est privé. Il est normal qu’ils explorent leur corps, notamment en touchant leurs parties génitales, mais ils devraient comprendre quand et où cela est approprié.</p><h2>Enfants d’âge préscolaire : de deux à quatre ans</h2><p>La plupart des enfants d’âge préscolaire sont à même de comprendre les principes fondamentaux de la reproduction : le spermatozoïde et l’ovule s’unissent, et le bébé grandit dans l’utérus. Selon leur degré de compréhension et d’intérêt, vous pourriez leur raconter l’histoire de leur naissance et leur dire que ce n’est pas la seule manière de fonder une famille. Ne pensez pas que vous devez tout leur expliquer en même temps. Les enfants plus jeunes s’intéressent davantage à la grossesse et aux bébés qu’à l’acte sexuel.</p><p>Les enfants devraient comprendre que leur corps leur est propre et savoir que personne n’a le droit de le toucher sans leur autorisation. Ils devraient savoir que d’autres personnes peuvent les toucher, mais uniquement de certaines façons, et que personne ne devrait demander à toucher leurs parties génitales, à moins qu’il ne s’agisse de leurs parents ou de fournisseurs de soins. S’ils font la distinction entre ce qui est approprié et ce qui ne l’est pas, ils seront plus enclins à vous dire s’ils sont victimes d’une agression sexuelle.</p><p>À cet âge, les enfants devraient également apprendre à demander avant de toucher quelqu’un (p. ex., faire un câlin, chatouiller) et devraient commencer à apprendre à poser des limites (p. ex., comprendre que lorsque quelqu’un fait un pas en arrière, votre enfant devrait respecter ce signal, qui indique un besoin d’espace).</p><p>Éduquez les enfants au sujet de l’intimité qui entoure les questions liées au corps. Par exemple, ils devraient savoir à quel moment la nudité est appropriée.</p><p>Ils devraient également en apprendre davantage au sujet d’autres parties et fonctions du corps. Certains enfants de cet âge pensent que les filles n’ont qu’une seule ouverture pour les selles et l’urine, et bon nombre d’enfants croient que les bébés grandissent dans le ventre, au même endroit que celui où vont leurs aliments.</p><h2>Enfants d’âge scolaire : de cinq à huit ans</h2><p>Les enfants devraient avoir une compréhension sommaire du fait que certaines personnes sont hétérosexuelles, homosexuelles ou bisexuelles, et qu’il existe une palette d’expressions du genre; le genre n’est pas déterminé par les parties génitales d’une personne. Ils devraient également connaître le rôle de la sexualité dans les relations.</p><p>Ils devraient connaître les conventions sociales essentielles de l’intimité, de la nudité et du respect des autres dans les relations. La majorité des enfants ont commencé à explorer leur corps à cet âge. Ils devraient comprendre que même si cela est normal, il s’agit d’une activité privée.</p><p>Apprenez aux enfants comment utiliser un ordinateur et des appareils mobiles en toute sécurité. Les enfants de cette tranche d’âge devraient commencer leur apprentissage de l’intimité, de la nudité et du respect des autres dans le contexte numérique. Ils devraient avoir conscience des règles quant aux échanges avec des étrangers et au partage de photos en ligne, et savoir comment faire face à une situation inconfortable.</p><p>Il convient d’enseigner aux enfants les principes fondamentaux de la puberté vers la fin de cette tranche d’âge, car un certain nombre d’enfants entreront dans la puberté avant l’âge de 10 ans. Ils devraient non seulement se familiariser avec les changements qu’ils vont vivre, mais aussi avec d’autres corps — les garçons et les filles ne devraient pas recevoir une éducation distincte. Ils devraient également connaître l’importance de l’hygiène et des soins personnels à la puberté. En abordant ces questions très tôt, vous les préparerez aux changements qui vont survenir durant la puberté, et ils seront ainsi rassurés sur le fait que ces changements sont normaux et sains.</p><p>La connaissance des enfants en matière de reproduction ​humaine devrait être approfondie. Celle-ci pourrait inclure le rôle des rapports sexuels, mais ils devraient également savoir qu’il existe d’autres moyens de reproduction. Cette information pourrait être intégrée aux discussions liées à la puberté.</p><h2>Préadolescents : de neuf à douze ans</h2><p>En plus d’insister sur tous les aspects précités qu’ils ont déjà appris, les préadolescents devraient être sensibilisés aux pratiques sexuelles sûres et aux méthodes de contraception, et ils devraient disposer de renseignements de base au sujet de la grossesse et des infections transmissibles sexuellement (ITS). Ils devraient savoir que le fait d’être un adolescent ne veut pas dire qu’ils doivent être sexuellement actifs.</p><p>Les préadolescents devraient comprendre les fondements tant d’une relation positive que d’une relation négative.</p><p>Ils devraient maintenant connaître assez bien la sécurité sur Internet, y compris l’intimidation et les sextos. Ils devraient connaître les risques liés au partage de photos de nudité ou sexuellement explicites d’eux ou de leurs camarades.</p><p>Les préadolescents devraient aussi comprendre en quoi les médias influencent la perception des personnes à l’égard de leur corps, et ils devraient pouvoir exercer leur pensée critique quant à la manière dont la sexualité est dépeinte dans les médias. Somme toute, ils devraient être en mesure de juger si les représentations du sexe et de la sexualité sont vraies ou fausses, réalistes ou non, et si elles sont positives ou négatives.</p><h2>Adolescents : de 13 à 18 ans</h2><p>Les adolescents devraient recevoir des renseignements plus détaillés au sujet des menstruations et des éjaculations nocturnes (« rêves mouillés ») et savoir qu’ils sont normaux et en bonne santé. Ils devraient également développer leurs acquis concernant la grossesse et les ITS ainsi qu’au sujet des différentes méthodes de contraception et de la manière de les utiliser pour se livrer à des pratiques sexuelles sûres.</p><p>L’apprentissage relatif à l’adoption de pratiques sexuelles sûres va de pair avec celui qui a trait à l’impact de l’alcool et des drogues sur le jugement.</p><p>Les adolescents devraient continuer d’apprendre la différence entre une relation saine et une relation malsaine. Cette conscientisation comprend l’apprentissage des pressions et de la violence dans les fréquentations, de même que la compréhension de la signification du consentement dans les relations sexuelles. Les adolescents devraient être dotés de compétences en matière de négociation et de refus, ainsi que de méthodes pour mettre fin à une relation.<br></p><p>Les adolescents sont généralement des personnes très réservées. Cependant, si les parents ont abordé le sujet du sexe tôt avec leur enfant, il est plus probable que celui-ci s’adressera à ses parents en cas de situation difficile ou dangereuse par la suite, ou s’il a des questions ou des inquiétudes par rapport aux changements de son corps et à son identité.</p><h2>Références</h2><p>Alberta Health Services (n.d.). <em>Information by age: Understanding your child’s development</em>. Retrieved from: <a href="https://teachingsexualhealth.ca/parents/information-by-age/">https://teachingsexualhealth.ca/parents/information-by-age/</a></p><p>Alberta Health Services (n.d.). <em>Sexual & gender diversity</em>. Retrieved from: <a href="https://teachingsexualhealth.ca/parents/information-by-topic/sexual-diversity/">https://teachingsexualhealth.ca/parents/information-by-topic/sexual-diversity/</a></p><p>Alberta Health Services (n.d.). <em>Understanding consent</em>. Retrieved from: <a href="https://teachingsexualhealth.ca/parents/information-by-topic/understanding-consent/">https://teachingsexualhealth.ca/parents/information-by-topic/understanding-consent/</a></p><p>Canadian Paediatric Society — Caring for Kids (2017). <em>How to talk with your teen</em>. Retrieved from: <a href="https://www.caringforkids.cps.ca/handouts/talk_with_your_teen">https://www.caringforkids.cps.ca/handouts/talk_with_your_teen</a></p><p>Canadian Paediatric Society — Caring for Kids (2018). <em>Gender identity</em>. Retrieved from: <a href="https://www.caringforkids.cps.ca/handouts/gender-identity">https://www.caringforkids.cps.ca/handouts/gender-identity</a><a></a></p> <a> </a> <p>Canadian Paediatric Society — Caring for Kids (2018). <em>Sexual orientation</em>. Retrieved from: <a href="https://www.caringforkids.cps.ca/handouts/teens_sexual_orientation">https://www.caringforkids.cps.ca/handouts/teens_sexual_orientation</a></p><p>Planned Parenthood (n.d.). <em>Get the facts on sexual health</em>. Retrieved from: <a href="https://www.plannedparenthood.org/learn">https://www.plannedparenthood.org/learn</a></p>https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/sex_education_what_when.jpgÉducation sexuelle Lorsque vous abordez le sujet de la sexualité et de la reproduction avec votre enfant, assurez-vous qu’il comprend ce que vous dites. Main
Conseils sur le sommeil : aider votre enfant à bien dormirConseils sur le sommeil : aider votre enfant à bien dormirSleep tips: How to help your child get a good night's sleepCFrenchPreventionChild (0-12 years)NANAHealthy living and preventionCaregivers Adult (19+)NA2016-07-18T04:00:00Z000Flat ContentHealth A-Z<p>Découvrez des conseils pour aider votre enfant à dormir suffisamment.</p><p>Le sommeil comporte toute une gamme de <a href="/Article?contentid=645&language=French">bienfaits pour la santé physique et mentale</a> de votre enfant. À partir de sa naissance, le fait de dormir suffisamment pour son âge et son niveau d’activité détermine son bien-être. En suivant les conseils ci dessous, vous pourrez aider votre enfant à s’endormir et à dormir toute la nuit sans se réveiller.</p><h2>À retenir</h2> <ul> <li>Aidez votre enfant à dormir suffisamment en adoptant un horaire régulier et en l’incitant à faire de l’exercice, à avoir une alimentation équilibrée et à limiter sa consommation de caféine à partir de l’après-midi.</li> <li>Une routine apaisante et un contexte propice au sommeil – sans appareil électronique – peut aussi favoriser le sommeil chez l’enfant et l’aider à dormir toute la nuit.</li> <li>Allégez la routine du matin en préparant le repas du matin et en choisissant les vêtements de l’enfant la veille.</li> <li>Consultez un médecin si votre enfant semble distrait ou somnolent durant le jour ou s’il affiche des ronflements sonores ou des pauses de respiration la nuit.</li> </ul><h2>Instaurer une routine</h2><p>L’organisme des enfants tire profit d’un horaire régulier. Il est important de vous assurer que votre enfant se couche et se lève aux mêmes heures environ au moins six jours par semaine. Les heures de coucher et de lever ne doivent pas varier de plus d’une ou deux heures d’un jour à l’autre, même les fins de semaine.</p><p>Essayez d’éviter que votre enfant ne se lève plus tard les fins de semaine, car il risque d’éprouver plus de difficulté à respecter un horaire fixe durant la semaine. Si votre enfant est bien reposé, vous pouvez modifier son horaire de temps à autre pour des occasions spéciales. Il sera alors en mesure de récupérer plus rapidement du manque de sommeil occasionnel.</p><h2>Aider son enfant à adopter des habitudes saines</h2><p>Aidez votre enfant à adopter et à conserver des habitudes saines de vie quotidienne. Elles favoriseront son bien être et son sommeil.</p><ul><li>Incitez votre enfant à faire régulièrement de l’activité physique.</li><li>À partir de l’après-midi, veillez à ce qu’il ne consomme pas de caféine (boissons gazeuses, boissons énergisantes, café, thé ou chocolat) ou encore qu’il en limite sa consommation.</li><li>Servez des repas équilibrés à heures fixes et planifiez vos menus en choisissant des aliments des quatre groupes d’aliments du <a href="/Article?contentid=1436&language=French">Guide alimentaire canadien</a>. </li></ul><h2>Pas de sieste pour les enfants de 6 ans et plus</h2><p>Un enfant en santé de plus de six ans ne devrait pas avoir besoin d’une sieste pendant la journée. À cet âge, le fait de dormir le jour risque de l’empêcher de s’endormir à l’heure habituelle le soir. Il se couchera donc plus tard, ce qui peut nuire à la qualité de son sommeil durant la nuit.</p><p>Les enfants de moins de six ans peuvent faire une sieste le jour s’ils en ressentent le besoin. Si votre enfant a six ans ou plus, essayez de limiter ses siestes pendant la journée. Le fait de dormir le jour ou tôt dans la soirée fera qu’il éprouvera plus de difficulté à s’endormir à l’heure du coucher.</p><h2>Instaurer une routine apaisante</h2><p>Établissez pour votre enfant une routine quotidienne favorisant la détente avant le coucher. Au départ, soyez clair chaque soir à propos de l’heure du coucher. Par exemple, dites à votre enfant qu’à 20 h, il se mettra en pyjama et qu’à 20 h 30, les lumières seront éteintes. Respectez cet horaire. Si votre enfant a de la difficulté à s’endormir, vous pouvez commencer la routine du coucher un peu plus tôt. Cela lui donnera plus de temps.</p><p>Incitez votre enfant à prendre un bain ou une douche avant d’aller se coucher afin de se sentir plus détendu et plus somnolent. Se coucher avec un état d’esprit calme peut réduire le risque et la fréquence des <a href="/Article?contentid=306&language=French">troubles du sommeil</a> courants, comme les cauchemars, le somnambulisme et les <a href="/Article?contentid=305&language=French">terreurs nocturnes</a>.<br></p><p>Prévoyez dans la routine du coucher de votre enfant une période calme de 20 à 30 minutes. Lire, feuilleter une revue, écouter de la musique ou écrire un journal sont d’excellentes activités pour l’apaiser. Tamiser les lumières une demi-heure avant l’heure du coucher peut aussi aider votre enfant à avoir sommeil.</p><p>Évitez et découragez les activités stimulantes, entre autres, les jeux vidéo, l’usage de l’ordinateur ou du cellulaire. Au moins une heure avant l’heure du coucher, <a href="/Article?contentid=641&language=French">fermez tous les appareils électroniques</a>.</p><h2>Créer un contexte propice au sommeil</h2><p>Assurez-vous que le pyjama de votre enfant est confortable et adapté à la saison. Assurez-vous aussi que sa chambre à coucher est fraîche et silencieuse. Le matelas et l’oreiller doivent offrir un bon soutien pour la colonne vertébrale.</p><p>Veillez à ce que le lit ne serve qu’à dormir. Découragez votre enfant de faire ses travaux scolaires ou d’utiliser un ordinateur au lit. Votre enfant risque d’associer l’heure du coucher et le stress ou la réflexion active et d’avoir des problèmes à s’endormir.</p><p>Évitez d’avoir un téléviseur, un ordinateur, une tablette ou un cellulaire dans la pièce. Le soir, la télévision, un ordinateur, une tablette ou un téléphone peut stimuler le cerveau au lieu de le détendre. De plus, votre enfant peut prendre l’habitude de regarder la télévision ou de vérifier son téléphone la nuit s’il se réveille. Si vous regardez la télévision quand votre enfant dort, assurez-vous de baisser le volume assez bas pour qu’il n’entende pas.</p><p>Mettez un verre d’eau près du lit de votre enfant afin qu’il n’ait pas à sortir du lit s’il a soif durant la nuit. Assurez-vous que le verre est à la portée de l’enfant.</p><p>Envisagez la possibilité de mettre à profit tous les sens de votre enfant pour l’aider à s’endormir. Par exemple, les enfants qui ont des problèmes à s’endormir peuvent aimer l’odeur apaisante de la lavande. Vous pouvez utiliser du détersif à parfum de lavande ou placer quelques gouttes d'huile essentielle de lavande sur l’oreiller de votre enfant.</p><h2>Conseils pour un matin plus agréable</h2><p>Proposez à votre enfant certains choix pour le repas du matin et, si possible, préparez-le avec lui la veille. Par exemple, vous pouvez couper des fruits frais et faire cuire le gruau la veille. Le lendemain matin, vous ou votre enfant pouvez les mélanger rapidement.</p><p>Aidez votre enfant à choisir ses vêtements la veille. S’il est assez âgé pour s’habiller seul, mettez les vêtements là où il peut les atteindre le matin.</p><p>Si votre enfant va à l’école, aidez-le à ranger ses choses dans son sac à dos avant de se coucher. S’assurer le soir que tout est rangé et prêt à partir rend le matin beaucoup moins stressant. Vous avez alors plus de temps à chercher quelque chose qui manque ou à signer une note importante de l’école.</p><p>Dites à votre enfant à quelle heure vous allez le réveiller le lendemain matin. Calmement, réveillez votre enfant en lui faisant un câlin, en frottant délicatement son bras ou en disant doucement son nom.</p><h2>Quand consulter un médecin au sujet des problèmes de sommeil de votre enfant?</h2><h3>Pour les tout-petits ou les enfants d’âge préscolaire</h3><p>Consultez un médecin si votre enfant présente un des problèmes suivants:</p><ul><li>il affiche des ronflements persistants et sonores ou des pauses ou des <a href="/Article?contentid=1918&language=French">problèmes de respiration</a> durant son sommeil;</li><li>il semble irritable, hyperactif, inattentif ou somnolent durant la journée;</li><li>il manifeste une <a href="/Article?contentid=271&language=French">anxiété</a> excessive lorsqu’il est séparé de vous durant la journée et la nuit;</li><li>il affiche des problèmes de sommeil qui viennent tout juste de se manifester;</li><li>il trouve difficile de réduire le nombre de siestes de deux à une par jour;</li><li>il fait du somnambulisme;</li><li>il a des terreurs nocturnes ou fait souvent des cauchemars.</li></ul><h3>Enfants d’âge scolaire</h3><p>Consultez un médecin si votre enfant présente l’un des problèmes suivants:</p><ul><li>son enseignant vous dit qu’il semble fatigué même si vous croyez qu’il dort suffisamment;</li><li>il connaît des épisodes de <a href="/Article?contentid=305&language=French">terreurs nocturnes</a> ou de somnambulisme, ce qu’il n’avait pas avant l’âge de 6 à 7 ans;</li><li>il doit faire des siestes régulièrement;</li><li>il affiche des ronflements sonores, des pauses de respiration ou une agitation excessive durant la nuit.</li></ul>https://assets.aboutkidshealth.ca/AKHAssets/sleep_benefits_recommended_amounts.jpgAider votre enfant à bien dormir​ Découvrez des conseils pour aider votre enfant à dormir suffisamment pour son âge et son niveau d'activité.Main

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